Voilà ma vraie première découverte musicale de l'année 2023. Les trois précédents disques chroniques ici étaient l'oeuvre d'artistes pour le moins expérimentés et dont la carrière, à défaut d'être totalement derrière eux, n'est plus à faire. "Dream House" est pourtant déjà le troisième album de JW Francis mais ce n'est qu'aujourd'hui que sa musique arrive enfin à mes oreilles. Sa pop lo-fi et lumineuse aux mélodies irrésistibles ("Casino", "Swooning") semble provenir du soleil Californien. Il n'en est rien, l'artiste, guide touristique à ses heures perdues, est né en Oklahoma, a vécu en France et vit désormais à New-York. On pense à Mac Demarco pour le côté à la cool, l'attitude de glandeur patenté, aux Strokes pour le phrasé et les guitares sur quelques titres plus rock comme "Keep it cool Steve". Le chanteur au look de hipster sympathique - barbu rouquin et frisé - ressemble au copain un peu perché, un peu hors du monde et de ses tracas quotidiens qu'on pourrait avoir.
Voilà ma vraie première découverte musicale de l'année 2023. Les trois précédents disques chroniques ici étaient l'oeuvre d'artistes pour le moins expérimentés et dont la carrière, à défaut d'être totalement derrière eux, n'est plus à faire. "Dream House" est pourtant déjà le troisième album de JW Francis mais ce n'est qu'aujourd'hui que sa musique arrive enfin à mes oreilles. Sa pop lo-fi et lumineuse aux mélodies irrésistibles ("Casino", "Swooning") semble provenir du soleil Californien. Il n'en est rien, l'artiste, guide touristique à ses heures perdues, est né en Oklahoma, a vécu en France et vit désormais à New-York. On pense à Mac Demarco pour le côté à la cool, l'attitude de glandeur patenté, aux Strokes pour le phrasé et les guitares sur quelques titres plus rock comme "Keep it cool Steve". Le chanteur au look de hipster sympathique - barbu rouquin et frisé - ressemble au copain un peu perché, un peu hors du monde et de ses tracas quotidiens qu'on pourrait avoir.