Le titre laisse penser à des images rêvées, à ce qui s'écrit, s'imprime à l'intérieur de soi, à quelque chose de caché, soi-même peut-être. Pourtant cette exposition se termine avec un regard sur le monde, en particulier ce que l'artiste intitule Radio-Pétrovitch : une nouvelle entendue le matin sur France Inter associée à une image réalisée dans la journée, et ce pendant deux ans. Et aussi les témoignages recueillis à propos du travail et de la première embauche. Il y a aussi, dans cette exposition, des oiseaux morts tenus entre des mains, dessinés, peints. Et des sculptures. Et une déclinaison du verbe tenir.
D'autres oeuvres de Françoise Pétrovitch ont déjà été présentées dans ce blog : ici et là.