J’écris sous l’emprise de la morosité, des énergies dissipées et des jours diminués.
J’écris pour passer le temps, pour m’assurer que j’arrive encore à conjuguer des mots et des idées et à les faire valser dans une folle farandole.
J’écris parce que, un jour futur qui sait, je me relirai et je me dirai “ tu étais encore vivant”
J’écris parce que j’ai encore cette liberté