Il est incroyable de constater à quel point les changements climatiques ont le dos large. En fait, comme la chose est partie, on peut leur attribuer à peu près tous les maux de la planète.
Le 14 juillet 2008, une étude publiée par des chercheurs de l´Université du Texas avance l’hypothèse que les cas de calculs rénaux - communément appelés pierres aux reins - pourraient augmenter de 30% dans certaines régions des États-Unis d´ici 2050, si les hausses de températures prédites par le Groupe d´experts intergouvernemental sur l´évolution du climat se concrétisent.
Selon Yair Lotan, co-auteur de l´étude: «À notre connaissance, c´est la première fois que les changements climatiques sont directement associés à une maladie humaine». Selon ces chercheurs, il est raisonnable de penser qu´un effet semblable pourrait survenir ailleurs dans le monde, s´il y a effectivement hausse des températures et que le lien entre températures et calculs rénaux est démontré - et de nombreux indices vont en ce sens. Par contre, l´étude ne fait pas d´estimation de la hausse possible du nombre de cas au Canada, mais elle évalue que plusieurs États Américains voisins de la frontière canadienne pourraient connaître des majorations allant de cinq à 15 pour cent.
Remettons maintenant les choses en perspective.
Primo, nous savons tous très bien que si nous vivons dans un endroit où le climat est plus chaud, qu’il faut s´abreuver plus souvent: simple logique de base. Secundo, les auteurs de l´étude disent qu´il y aura 30 % d´augmentation des cas d´ici 2050 si les prédictions du GIEC sont avérées. Et c´est justement là où le bât blesse, car les affirmations du GIEC ne sont que des spéculations à partir de modèles informatiques, ce qui vient donc invalider systématiquement et totalement les données de l´étude.
Je considère qu´il est irresponsable que des gens possédant des formations scientifiques en arrivent à faire de telles affirmations afin de créer un buzz médiatique et de créer un momentum autour de leurs personnes et de les mettre en avant plan.
Ce qu´il faut comprendre dans toute cette démarche, c´est que l´alarmisme et le catastrophisme attirent les médias comme le miel attire les mouches, et les changements climatiques sont l´affaire rêvée pour ces derniers.
Comme j´écris cet article, mon chat vient tout juste de régurgiter une grosse boule de poils, et la pauvre bête est sûrement affectée par les changements climatiques, puisque depuis quatre jours il fait une chaleur accablante. Donc, il y a un lien direct entre les boules de poils de mon chat et les changements climatiques.