En septembre dernier, Prigorine, de plus en plus public, dira de sa milice que ce sont des héros, de vrais patriotes. Même si composée dernièrement de prisonniers à qui on a promis la liberté.
Andrei Medvedev, 26 anest un ancien mercenaire du Groupe Wagner. Il a été témoin de l'éxécution sommaire d'Ukrainien, assassinés simplement parce qu'ils étaient Ukrainiens.Il a aussi été témoin de meurtres de soldats du Groupe Wagner ordonnés par leur supérieur, si on résistait ou désobéissait aux ordres. Parfois en groupe entier. Non convaincu de sa propre mission, et craignant qu'on ne prenne ses doutes pour de la rébellion, il a légitimement craint pour sa propre sécurité. Il a choisi de quitter, vendredi deenier, les rangs, et de fuir en Norvège, où il demande l'asile politique. Son visage est très à découvert et sa vie, à partir de maintenant, perpétuellement logée dans la crainte de l'empoisonnement soudain.Partout dans le monde.
Combien sont-ils de Russes à vouloir l'imiter ?Il est si triste d'être Russe de nos jours.Encore pire, Ukrainien. Mais de ce côté-là, en mode survie, on carbure à autre chose. La fierté est une condition sine qua none de la survie d'une collectivité. Et l'instinct de survie est dépisteur de talents. L'Ukraine tient très bien le fort face aux agresseurs. Pourra-t-elle le faire encore longtemps ? On ne sait trop.
Mais ce qu'on sait, c'est que la Russie regorge de beaucoup beaucoup beaucoup de mal. En raison de son chef Vladimir.Au hockey de la LNH, les joueurs, dans le réchauffement d'avant-match, portent quelques fois des gilets qui veulent rendent hommage à des héros. Celles et ceux qui se battent conte le cancer, celles et ceux qui sont soldats, celles et ceux qui sont gays et ainsi de suite.
Je vous nommé trois groupes de véritables héros. Dont les défis quotidiens somt innombrables.
Le défenseur (Russe) des Flyers de Philadelphie Ivan Provorov, à l'instar de sa probable idole Vladimir Putin qui veut criminialiser l'homosexualité, a promptement refusé de porter le chandail de pratique en support à la communauté LGBTQ+. Sous prétexte que c'était contre ses croyances et sa religion. S'affichant ainsi non plus comme adversaire, mais comme, ennemi de l'humanité.Ce que quelques Russes ciblés sont déjà d'emblée.
Et on dira que la religion est encore quelque chose de bien. Comme ce bouclier qui ferait pardonner la haine.
Comme si les effluves Russes ne puaient pas déjà assez, cette larve de chef de la diplomatie russe, Sergei Lavrov a bien fait rire (jaune) hier en disant que l'occident agit envers les Russes comme Hitler contre les Juifs. Tentant du même coup d'inverser à 100% la vraie nature des choses.
Le génocide, ce sont eux qui l'exercent.
Pas l'inverse.