La guerre, les guerres. Tout y est jeté, femmes, enfants, hommes, animaux, cadavres, détruit, explosé, armes, avions, véhicules, dispersé, foules, photos, territoires… La grammaire de la guerre se passe parfois de verbes. Ou. Troue. Dévore. Viole. Non, la guerre n’est pas jolie, même « dans l’oeil de la caméra ». Chaque mot de Perrine Le Querrec frappe, écrase, nous « rapproche de la mort ». Et celui, celle qui revient, qui l’embrassera ? Qui y survivra ? Et quoi, les souvenirs ?