Vous avez été nombreux à nous envoyer cette dénonciation pour cet abus commis dans un commissariat camerounais.
Nous nous sommes rendus sur les lieux hier et avons débuté notre enquête aux abords dudit commissariat. Selon le voisinage une telle affaire ne leur est pas parvenue et aucun éclat de voix n’a été entendu.
Par la suite, nous nous sommes dirigés vers les agents de la police qui disent être victimes des Fake News des réseaux sociaux, car selon eux, aucune dame n’est arrivée dans leur service enceinte.
Lire aussiCameroun : 6 violeurs et braqueurs mis hors d'état de nuire à DoualaPour le commissaire Sakafoulsou Étienne vers lequel nous avons été conduits cette situation n’a pas pu se produire dans son lieu de commandement, précisant que les femmes ne sont pas gardées dans les mêmes cellules que les hommes, mais elles sont installées dans un espace qui leur est réservé à l’extérieur.
Par la suite, nous avons été invités à regarder dans la cellule où nous avons vu des hommes et à l’extérieur 3 femmes étaient assises sur un banc.
Lire aussiMise au point de Aristide BOUNAH sur la diffusion de ses conversations privées sur les réseaux sociaux par Mireille FOMEKONGNous avons quitté le commissariat central numéro 4 de la ville de Douala à 15h40 hier vendredi 9 décembre 2022.