Les chiffres sont tombés, et ho, surprise, ils ne sont pas bons pour l'économie française.
Le pubard porte parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, improbable mix de Karl Rove, Séguéla et on sait pas trop quoi, le beauf de Cabu de peut être en profite pour sommer ou presque la BCE de prendre ses responsabilités.
le spécialiste en coups tordus de Nicolas Sarkozy se livre à un tour de passe passe bien connu ," c'est pas notre faute, c'est celle à Trichet".
Ok, Trichet et son intransigeance sur les taux peuvent parfois être montrés du doigt.
Filloche estimait par exemple que sa doctrine du franc fort, poursuivie par celle de l'euro fort (YTrichet n'a eu qu'une idée dans sa vie semble-t-il) avait coûté à la France environ 1 millions d'emplois, chiffre plutôt conséquent.
Mais, on ne peut tout mettre sur le dos du seul Trichet. Il faudrait aussi s'interroger sur les orientations financières de Sarko, Lagarde and co. le 'parce que je l'ai décidé" et les prévisions de croissance au doigt mouillé montre leurs limites. À l'heure actuelle, Lagarce cherche les points de croissance manquants (ceux que "l'idiot en Colère" devait aller chercher avec les dents) dans les astres? Tessier au gouvernement.
la dernière récession française date de Balladur et, ho, surprise, les décisionnaires étaient les mêmes. Alors, oui, conjoncture internationale, certes, mais aggravée par des décisions idéologiques.
À côté de ça quand Hollande entrouvrant un oeil glisse une pique à Sarko et sa bande, Lefebvre pète un plomb et l'accuse quasiment de haute trahison ou de mauvaise francité, le PS cherchant l'échec de son pays.
Socialistes, communistes, LCR et tout autres non UMP, faites gaffe, Lefebvre va faire préparer des charters par son pote Hortefeux pour les anti France que vous êtes.
Lefebvre, le degré 0 de la réflexion politique