J'embrasse son clitoris, encore humide après son bain ; les poils de son pubis sont trempés, comme des algues marines. Son sexe a le goût d'un coquillage d'un merveilleux coquillage, frais et salé.
Oh ! Mary ! mes doigts se font plus rapides. Elle se renverse en arrière sur mon lit, m'offrant son sexe, ouvert et mouillé, comme un camélia, comme des pétales de rose, comme du velours, du satin. Il est rose et tout neuf, comme si jamais personne ne l'avait touché.
Anaïs Nin, Les Petits Oiseaux
Partager cet article Repost0 &version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : Vingt-quatre heures Son cou est saupoudré Regarde-nous, Tu es là, mon amourEmois
« Article précédent