La Transportation Security Administration, ou TSA, ajoute des identifiants numériques à un programme pilote pour essai la technologie de reconnaissance faciale dans les aéroports du pays dans le cadre de son évaluation de l’efficacité de cette technologie alors que l’agence s’efforce de numériser et d’automatiser davantage la vérification de l’identité des passagers aux points de contrôle de sécurité.
La vérification de l’identité du passager se fait traditionnellement en présentant une pièce d’identité physique à un agent de la TSA qui la vérifie par rapport au vol du voyageur et aux informations biographiques stockées dans la base de données de l’agence. L’agence étudie la possibilité d’utiliser des identifiants numériques, qui sont des versions numériques des informations d’un identifiant physique stocké et accessible sur un appareil mobile, tel qu’un permis de conduire mobile, comparées à une analyse de reconnaissance faciale en temps réel. pour le processus de vérification.
TSA utilise le Credential Authentication Technology 2, ou CAT-2, système de vérification d’identité dans 16 aéroports, selon un Poste de Washington article. Il collectera et comparera les informations de l’identification numérique – la photographie et les informations personnellement identifiables – avec la photo en direct du passager et les informations de vol. La TSA a déjà essayé cela avec des identifiants physiques et voit maintenant si cela est possible avec des identifiants numériques.
La TSA a lancé le projet pilote au début de 2022 dans le but de “soutenir le déploiement progressif des identifiants numériques, y compris les permis de conduire mobiles”. Au début du processus de déploiement, la TSA n’acceptera que certains permis de conduire mobiles et identifiants numériques des passagers TSA PreCheck. Les passagers non-TSA PreCheck pourront utiliser un permis de conduire mobile à l’avenir.
“La TSA s’attend à ce que la vérification faciale puisse permettre au personnel de la TSA d’améliorer la sécurité de l’aéroport et d’accélérer les processus de sécurité des points de contrôle”, a déclaré l’agence. Évaluation de l’impact sur la vie privée a dit.
Un individu peut placer son appareil mobile contre le lecteur numérique CAT-2 ou scanner le code QR affiché sur l’écran de son téléphone. La personne verra alors les informations partagées avec la TSA et devra consentir à partager ces informations.
Les informations de l’individu sont vérifiées en authentifiant l’identification numérique, en faisant correspondre les informations d’identification numérique et la photo avec les informations de réservation de vol et la photo en direct de l’individu prise par le scanner de reconnaissance faciale. Après vérification, le passager pourra passer le point de contrôle. Un agent de la TSA sera présent tout au long du processus de vérification.
Selon l’agence, elle anonymisera et chiffrera les données collectées et les transférera pour analyse temporaire à la direction des sciences et technologies du département de la sécurité intérieure afin d’évaluer l’efficacité de cette technologie au point de contrôle de la TSA. La TSA supprimera les données dans un délai de deux ans.
La TSA a noté que lorsqu’elle ne procède pas à l’évaluation, les photos en direct des passagers et les informations personnellement identifiables de leur identification numérique ne dureront que jusqu’à ce que le prochain passager soit scanné, lorsque le système écrasera les informations de l’ancien passager avec les informations du passager le plus récent.
Les individus sont autorisés à s’inscrire à ce programme pilote volontaire, où la TSA collectera les informations susmentionnées “dans le but d’améliorer la sécurité des transports, la vérification de l’identité et de tester l’efficacité de cette technologie au point de contrôle sous l’autorité de l’aviation et des transports. Loi sur la sécurité. Selon la TSA, elle peut partager les informations fournies par un passager avec le DHS S&T, les forces de l’ordre, les agences de renseignement et autres.
Si un passager ne s’inscrit pas, il passera par le processus de contrôle standard aux points de contrôle.
La Transportation Security Administration, ou TSA, ajoute des identifiants numériques à un programme pilote pour essai la technologie de reconnaissance faciale dans les aéroports du pays dans le cadre de son évaluation de l’efficacité de cette technologie alors que l’agence s’efforce de numériser et d’automatiser davantage la vérification de l’identité des passagers aux points de contrôle de sécurité.
La vérification de l’identité du passager se fait traditionnellement en présentant une pièce d’identité physique à un agent de la TSA qui la vérifie par rapport au vol du voyageur et aux informations biographiques stockées dans la base de données de l’agence. L’agence étudie la possibilité d’utiliser des identifiants numériques, qui sont des versions numériques des informations d’un identifiant physique stocké et accessible sur un appareil mobile, tel qu’un permis de conduire mobile, comparées à une analyse de reconnaissance faciale en temps réel. pour le processus de vérification.
TSA utilise le Credential Authentication Technology 2, ou CAT-2, système de vérification d’identité dans 16 aéroports, selon un Poste de Washington article. Il collectera et comparera les informations de l’identification numérique – la photographie et les informations personnellement identifiables – avec la photo en direct du passager et les informations de vol. La TSA a déjà essayé cela avec des identifiants physiques et voit maintenant si cela est possible avec des identifiants numériques.
La TSA a lancé le projet pilote au début de 2022 dans le but de “soutenir le déploiement progressif des identifiants numériques, y compris les permis de conduire mobiles”. Au début du processus de déploiement, la TSA n’acceptera que certains permis de conduire mobiles et identifiants numériques des passagers TSA PreCheck. Les passagers non-TSA PreCheck pourront utiliser un permis de conduire mobile à l’avenir.
“La TSA s’attend à ce que la vérification faciale puisse permettre au personnel de la TSA d’améliorer la sécurité de l’aéroport et d’accélérer les processus de sécurité des points de contrôle”, a déclaré l’agence. Évaluation de l’impact sur la vie privée a dit.
Un individu peut placer son appareil mobile contre le lecteur numérique CAT-2 ou scanner le code QR affiché sur l’écran de son téléphone. La personne verra alors les informations partagées avec la TSA et devra consentir à partager ces informations.
Les informations de l’individu sont vérifiées en authentifiant l’identification numérique, en faisant correspondre les informations d’identification numérique et la photo avec les informations de réservation de vol et la photo en direct de l’individu prise par le scanner de reconnaissance faciale. Après vérification, le passager pourra passer le point de contrôle. Un agent de la TSA sera présent tout au long du processus de vérification.
Selon l’agence, elle anonymisera et chiffrera les données collectées et les transférera pour analyse temporaire à la direction des sciences et technologies du département de la sécurité intérieure afin d’évaluer l’efficacité de cette technologie au point de contrôle de la TSA. La TSA supprimera les données dans un délai de deux ans.
La TSA a noté que lorsqu’elle ne procède pas à l’évaluation, les photos en direct des passagers et les informations personnellement identifiables de leur identification numérique ne dureront que jusqu’à ce que le prochain passager soit scanné, lorsque le système écrasera les informations de l’ancien passager avec les informations du passager le plus récent.
Les individus sont autorisés à s’inscrire à ce programme pilote volontaire, où la TSA collectera les informations susmentionnées “dans le but d’améliorer la sécurité des transports, la vérification de l’identité et de tester l’efficacité de cette technologie au point de contrôle sous l’autorité de l’aviation et des transports. Loi sur la sécurité. Selon la TSA, elle peut partager les informations fournies par un passager avec le DHS S&T, les forces de l’ordre, les agences de renseignement et autres.
Si un passager ne s’inscrit pas, il passera par le processus de contrôle standard aux points de contrôle.
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