» Sufer head no get family. Suscess have anty… uncle (…) When you dont gettam evreybody know you… »
Ainsi chantait un musicien nigérian. BREEL EMBOLLO est aujourd’hui le Camerounais le plus en vue. Son nom est dans toutes les bouches. Au delà de l’actualité, qui ne veut pas l’avoir comme fils, époux, frère, parent. C’est ça la rançon de la gloire. Et toute sortie sur le footballeur peut être sujet à polémique ou à moult interprétations.
Sur son mur Facebook, Dr Jeanne Abou’o écrivaine auteur de plusieurs ouvrages notamment » Courage, Honorables Soldats! a fait un post sur EMBOLLO, en l’appelant » mon fils ». Sa sortie a suscité la réaction de ceux qui connaissent la famille de EMBOLLO. L’écrivaine s’est vu obligé de repréciser son expression » MON FILS « , juste parce que dans la culture africaine, lorsqu’un enfant à le même âge que le tien, tu le considère comme tel. Elle avoue qu’elle ne le connait ni de près, ni de loin, mais assume sa pensée.
Lire aussiDécès du taximan Tchouateun Njia : Mandela Center exige la révocation du commissaire Evina et du médecin chef du CMA de Nkololoun» Je tiens à rappeler à tous ceux qui se perdent dans les considérations futiles que l’appellation MON FILS concernant le petit EMBOLO,, Que dans notre culture africaine communautaire,, tous les enfants qui ont l’âge des tiens sont tes enfants,,Ce garçon qu’il soit footballeur ou rien dans la vie demeure un fils pour toutes les mamans comme moi, je ne le connais ni de près ni de loin, lui non plus n’a déjà entendu parlé de moi, mais j’aurai eu la même réaction si ça avait été le mien,,, Je vous souhaite toute la lucidité du monde, Précise Dr Jeanne Marie Rosette ABOU’OU dans un échange avec la Journaliste Marinette Nguimfack. Après son but contre le Cameroun, l’opinion est rentrée dans la vie du jeune EMBOLLO pour savoir que sa mère divorcé de son père avait reconstruit sa vie en Suisse.
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(1) La mère de BREEL EMBOLLO
(2) l’Ecrivaine Jeanne Abou’ou