Le travail de l'artiste Nathalie Miebach, basée à Boston, se concentre sur l'intersection de l'art et de la science avec ses sculptures tissées interprètant des données scientifiques liées à l'astronomie, à l'écologie et à la météorologie dans un espace tridimensionnel...
Ses créations fonctionnent à la fois comme des oeuvres d'art, des incarnations sonores de données (compositions musicales) et des instruments qui illustrent les changements environnementaux.
Des créations colorées qui sont composées de morceaux de bois, de papier, de métal, de plastique, de corde, de bois et de papier, etc...
Sa méthode de traduction et d'interprétation des données dans un espace tridimensionnel est principalement celle du tissage et de la vannerie.
En restant fidèles aux chiffres, ces pièces tissées tracent un fossé difficile entre le fonctionnement à la fois de sculptures dans l'espace et d'instruments pouvant être utilisés dans l'environnement réel d'où proviennent les données.
Nathalie Miebach a commencé à explorer l’intersection des sciences et de l’art en prenant des cours en astronomie à l’Université de Harvard en même temps qu’elle apprenait l’art de la vannerie dans une école voisine.
Mes sources... son Instagram... via: colossal...