Ou comment certains billets du passé se révèlent prémonitoires
2005... Je progresse finalement très lentement dans ma série de rappel de vieux billets, bien moins vite que le temps qui passe... Pourtant, quand je reviens en arrière, je me rends compte que certains billets ont pris beaucoup de valeur au regard des événements qui se passent aujourd'hui.
En septembre 2005, je me demandait si les blogs allaient modifier notre rapport à la politique. Les elections présidentielles sont passé par là. Force est de constater que les candidats aux élections ont plus exploité qu'adopté ce nouveau média. Une candidate a essayé de l'exploiter, sans aller assez loin et assez rapidement... Elle vit désormais recluse dans les média et ne sort pas grandie de ses dernières interventions...
En octobre 2005, je parlais de la mort à crédit. De ces familles qui se retrouvent dans la spirale du sur-endettement parce qu'elles ont succombées aux sirènes des crédits trop faciles. Cette exploitation de la misère par les organisme de crédit, on la subit tous aujourd'hui à travers la crise des subprimes, partie des Etats Unis et qui gangrène actuellement tout le marché financier international.
En 2005, je parlais beaucoup d'Open Office, la version 1.5, puis la version 2.0 venait de sortir. Aujourd'hui, la suite Open Office continue son petit bonhomme de chemin, sans que j'arrive trops bien a savoir quelle est désormais sa part de marché. Il faut dire que celle ci est plus difficile à déterminer que la part de marché de Firefox. La version 3.0 d'Open Office ne devrait plus trop tarder à sortir. La version bêta 2 vient de sortir et la version définitive est prévue pour la rentrée.
Enfin, en 2005, je parlais déjà référencement, et tentait d'expliquer pourquoi les moteurs aiment les blogs. J'en profitait d'ailleurs définir ce qu'est la blogosphère. Force est de constater que cette dernière s'est fortement étoffée depuis.
En septembre 2005, je revenais également d'un voyage en grèce avec Marmara, voyage qui m'avait ravi. Ce billet est d'ailleurs à mettre en parallèle du billet que j'ai produit il y a quelques jours sur le comportement de certaines personnes en vacances.