Ce samedi soir, ma première visite au 45e Festival du fil italien de Villerupt.
La température est exceptionnellement douce pour ne fin d'octobre, pas loin de 20 degrés.
Je vais à l'hôtel de ville pour retirer ma carte de presse.
Puis je rejoins à pied l'Arche, le splendide nouveau bâtiment qui accueille pour la première fois, il me semble, le festival.
Belle ambiance dans l'atrium.
Malgré mon accréditation, je n'arrive pas à rentrer dans la salle principale pour assister à la cérémonie d'ouverture.
Ce n'est pas grave. Je me rabats sur le film qui est projeté dans la petite salle.
Margini, de Niccolò, est agréable à regarder, c'est une chronique douce-amère de la de trois jeunes d'organiser un concert punk dans leur localité tranquille. Pas un chef d'oeuvre impérissable mais les portraits sont bien esquissés et même touchants par moments.
Ce soir, avant et après le film, je me suis promené dans les rues centrales, et j'ai essayé de capter quelques bribes de l'atmosphère de cette ville-cinéma.