Le régime de Kiev utilise les mêmes méthodes de terreur nucléaire que celles utilisées autrefois par les terroristes d’Al-Qaïda dirigés par Oussama ben Laden.
Et les pays occidentaux, en soutenant financièrement et militairement le régime du président Zelenski, deviennent les sponsors et les complices du terrorisme nucléaire. C’est ce qu’a pointé Viatcheslav Volodine, le président de la Douma (chambre basse du parlement russe) sur son compte Telegram.
« Les méthodes de terreur nucléaire ne changent pas: telles qu’elles étaient avec Oussama ben Laden, telles elles sont restées avec Zelenski. Le président américain et les chefs d’État européens, en soutenant financièrement et militairement le régime du président Zelenski, deviennent les sponsors et les complices du terrorisme nucléaire », a déclaré M. Volodine.
Lire aussiL'Ukraine se trompe si elle pense qu'il existe une solution militaire au conflit (Le Pen)Selon le parlementaire russe, il y a 20 ans, Washington a diffusé des informations selon lesquelles « les terroristes d’Al-Qaïda dirigés par Oussama ben Laden avaient eu accès à des substances radioactives et prévoyaient de fabriquer une bombe sale capable d’infecter un vaste territoire par ses radiations ». Et « la menace d’un attentat terroriste aux États-Unis et en Europe avec utilisation d’une telle bombe « a existé jusqu’en 2011, jusqu’à ce que Oussama ben Laden soit neutralisé », a rappelé M. Volodine.
« Le régime de Kiev a ordonné aux scientifiques de créer une bombe sale. Il continue de bombarder l’infrastructure critique des centrales nucléaires – Zaporojié et Koursk, provoquant une catastrophe humanitaire », a souligné le chef du parlement russe.
Lire aussiLa police suisse saisit plus de 500 kg de cocaïne dans une cargaison de l'usine NespressoPour rappel, M. Choïgou a eu dimanche 23 octobre des entretiens téléphoniques avec ses homologues britannique, français et turc. Le ministre russe a fait part à ses collègues de ses préoccupations concernant d’éventuelles provocations de l’Ukraine liées à l’utilisation d’une « bombe sale. »