C’est en pensant à ce qu’ont vécu nos aînés (mes parents, leur fratrie et parents respectifs) que j’ai tenu à rendre hommage au village d’Oradour-sur-Glane.
Mon père avait près de 12 ans quand ce drame est arrivé. Sa famille, originaire de Moselle, a eu l’obligation de quitter son joli pays du Saulnois, pour se retrouver réfugiée dans un hameau situé au nord de Limoges.
Ce jour terrible du 10 juin 1944, ils ont vu au loin (20 km à vol d’oiseau) de la fumée qui venait du nord-ouest de la Préfecture de la Haute-Vienne. Ce n’est que le lendemain qu’ils ont appris l’horreur…
Ceci est ma participation au Projet de Ma’. Comment les autres participants ont-ils traité le sujet ? Pour cela, cliquez dans les commentaires chez Ma’.