j'étais débordé, au boulot
Avertissement : ironie inside 🚨
Je suis d'humeur taquine. Un pied de nez à la morosité, un doigt dans le nez sur ma PP* (sur Twitter car sur l'illustration, c'est dans l'oreille). Je n'ai pas le talent d'une Afida Turner pour illuminer le monde de mes trilles et faire oublier que cette courge farcie de Vladimir a le doigt sur le bouton. Je n'ai pas non plus le lyrisme** de François Bayrou pour vous faire croire aux lendemains qui chantent.
Mais pourquoi ce billet ? Pour une raison futile bien entendu. La voici :
Je m'amuse parfois à répondre à côté de la plaque ou, au contraire, au pied de la lettre, au ras des pâquerettes. (Pardon, j'use et j'abuse d'expressions imagées depuis le commencement de ce billet). À ceux qui, sur les réseaux, rétorquent "source ?" pour un tweet intéressant mais pas sourcé, je réponds par une photo de source. Liquide, pure, limpide. À mon amie Virginie qui s'enthousiasme à propos de la sortie du prochain album de Mylène Farmer (le 25 novembre) et s'exclame "tic tac" (le tic tac des secondes qui la séparent de l'acquisition de L'Emprise), je m'apprête à répliquer par une photo glanée sur les internets. M'en vais chercher une photo*** de Tic et Tac pour commenter sa publication sur Facebook. Et là... j'apprends que les voisins perturbateurs de Donald Duck se prénomment Chip & Dale. Vous le saviez, vous ?
Pourquoi n'a-t-on pas appelé les Chippendales les Tic et Tac ? C'était peut-être moins évocateur, moins affriolant, moins sensssssuel. Imaginez des stripteaseurs bodybuildés déguisés en écureuils.
* photo de profil. J'ai laissé PP pour la rime dans la phrase.
** je plaisante hein ! mais je précise avec une ** car le 1er degré fait en ce moment de gros dégâts
*** un dessin plutôt car personne n'a pu véritablement prendre en photo les célèbres écureuils (des tamias, en fait). Sauf leurs avatars à Disneyland.