Tahar rentre chez lui. Chemin faisant, un pneu de son véhicule crève. Partir, c'est crever un pneu (comme dit un proverbe arabe). Tahar se range sur l'accotement, met sont gilet (jaune bien pêtant !), sort son cric et entreprend de changer la roue concernée. Djamel arrive à sa hauteur, freine en catastrophe et, stationne devant sa voiture. Il sort de sa voiture, se dirige vers le coffre, revient avec un pied de biche, et fracasse le pare-brise de l'autre voiture. Tahar, s'écrie :
Mais, qu'est ce que tu fais là, dis, mon frère ?
Et l’autre, Djamel donc, lui répond :
Toi, tu prends les roues. Moi, je prends la radio !
Moralité : Mieux vaut Tahar que Djamel.