Après avoir empoisonné les pigeons du parc public avec des graines toxiques, il s’est attaqué aux corbeaux. Il ne supportait plus leurs croassements gras qui le réveillaient tôt chaque samedi matin, le seul jour où il aurait pu dormir jusqu’à midi. Quand il eut éradiqué les volatiles au plumage de jais, il se sentit mieux. Et le dimanche matin qui suivit, il alla à l’église à l’aube pour s’y recueillir et louer le seigneur de lui avoir donné ce courage.