★★★☆☆
C’est si bon depuis si longtemps, et puis, splat, tout s’effondre dans le dernier furlong. Ce documentaire biographique sur Sinéad O’Connor (présenté dans une interview audio) éclate avec des images d’un concert à New York de 1992. Quelques jours après avoir déchiré une photo du pape à la télévision américaine, notre provocateur skinhead fait face avec audace à un stade de huées prolongées. et des railleries, comme une Jeanne d’Arc des temps modernes. C’est immédiatement captivant, et la réalisatrice Kathryn Ferguson cède rarement, plongeant profondément dans l’enfance d’O’Connor à Dublin d’abus et de torture psychologique, livrés par sa mère (“une bête”, dit la chanteuse) et l’église catholique.
Cela devient un portrait fascinant de la célébrité sous le feu et de la célébrité réticente et qui se déteste. Et puis, tout à coup, le récit meurt. La vie d’O’Connor
★★★☆☆
C’est si bon depuis si longtemps, et puis, splat, tout s’effondre dans le dernier furlong. Ce documentaire biographique sur Sinéad O’Connor (présenté dans une interview audio) éclate avec des images d’un concert à New York de 1992. Quelques jours après avoir déchiré une photo du pape à la télévision américaine, notre provocateur skinhead fait face avec audace à un stade de huées prolongées. et des railleries, comme une Jeanne d’Arc des temps modernes. C’est immédiatement captivant, et la réalisatrice Kathryn Ferguson cède rarement, plongeant profondément dans l’enfance d’O’Connor à Dublin d’abus et de torture psychologique, livrés par sa mère (“une bête”, dit la chanteuse) et l’église catholique.
Cela devient un portrait fascinant de la célébrité sous le feu et de la célébrité réticente et qui se déteste. Et puis, tout à coup, le récit meurt. La vie d’O’Connor
— to www.thetimes.co.uk