Il fallait aussi admettre qu’il n’était pas possible de tout suivre et que rester un moment tranquille dans une chaise-longue rue Paradol faisait partie intégrante du plaisir.Voilà pourquoi j’ai assisté seulement à trois lectures et à celle des lettres de Camus en fin de journée.Ce fut d’abord La Pluie d’été de Marguerite Duras par Bénédicte Cerutti, qui hasard ou coïncidence, était installée dans la cour Duras, lieu offrant idéalement calme et ombre (appréciable en ce dimanche de canicule).
Il fallait aussi admettre qu’il n’était pas possible de tout suivre et que rester un moment tranquille dans une chaise-longue rue Paradol faisait partie intégrante du plaisir.Voilà pourquoi j’ai assisté seulement à trois lectures et à celle des lettres de Camus en fin de journée.Ce fut d’abord La Pluie d’été de Marguerite Duras par Bénédicte Cerutti, qui hasard ou coïncidence, était installée dans la cour Duras, lieu offrant idéalement calme et ombre (appréciable en ce dimanche de canicule).