” Quatrième de couverture :
“A vue de nez, un chef-d'oeuvre (Bernard Pivot)”. Dans la France du XVIIIe siècle, un nabot nommé Grenouille découvre le meilleur parfum du monde. De cette idée feuilletonnesque, saturée de détails et de cascades ethno-olfactives, Patrick Süskind, jeune romancier munichois, a fait le Parfum, le nouveau best-seller européen” (Patrick Mauriès, Libération)” Encore un exploit, cette exaltation de l'exhalaison, dont seules sont capables l'écriture et la lecture, à l'exclusion de tout autre art !” (Bertrand Poirot-Delpech, Le Monde)”…”
Voila un livre qui ne m'a pas véritablement plu malgré beaucoup d'avis positifs qui m'avaient été donnés. Je suis donc partie dans cette lecture avec un certain enthousiasme que j'ai perdu au fur et à mesure que j'entrais dans l'histoire. En fait, je ne m'attendais pas du tout à un tel genre de lecture : beaucoup de notes de fantastique si l'on peut dire, et n'étant pas véritablement adepte de genre là, j'ai eu bien du mal par moment à poursuivre ma lecture. Il me tardait même de le terminer. N'étant pas de nature à arrêter un livre malgré le fait qu'il ne me plaît pas plus que ça, je me suis persuadée qu'en continuant, l'histoire allait finir par me plaire. Tant s'en faut ! Cela ne s'est pas produit ! J'ai trouvé certaines scènes longues, ennuyeuses et peu intéressantes (hormis celles consistant à l'enseignement de la création du parfum et des techniques utilisées pour ce faire). Au vu de tous les avis plus que positifs que je peux voir sur beaucoup de blogs ou forums littéraires, je me dis que je suis passée complètement à côté de ce ”chef-d'oeuvre” ou que je n'ai pas compris l'histoire… Et pourtant : un jeune homme qui a un “nez” et qui arrive à faire des parfums sans apprentissage, voila un thème très intéressant. Là où le bas blesse pour moi, c'est le côté fantastique/horrifique de ce que son “nez” le pousse à faire : tuer pour récupérer l'âme olfactive des jeunes filles qui l'attirent… Désolé d'avoir dévoilé une partie de la fin de l'histoire qui m'a le plus choquée et de vous dire : Non, je n'ai vraiment pas accroché à ce livre.