Mussolini, à l'aube des années 20, avait centré son nationalisme italien sur ce qui allait plus tard devenir fascisme. Il s'inscrivait en faux contre le socialisme et l'égalitarisme. Issu de la pauvreté, il refusait de croire en la lutte des classes et croisaient tous les milieux, ce qui le rendait populaire et populiste. Il favorisait compulsivement la révolution pour toute forme de réglement de conflit.
Quand la Deuxième Guerre Mondiale a éclatée, il a fait le choix mal avisé de joindre l'axe du mal, les Nazis et les Nippons. Après quelques succès initiaux, il a vite perdu la confiance de tous et a été destitué de son poste. Hitler lui trouvera un job de paille dans le Nord de l'Italie où il sera si mauvais et instable qu'une guerre civile y éclatera. Tentant de fuir avec sa maitresse, en direction de la neutre Suisse, ils seront capturés par des membres du parti communiste italien, assassinés et pendus par les pieds pour la postérité.
Née à Rome, elle joindra vite la Yout Front, puisque interessée par la politique. À 15 ans, elle est de la branche néo-faciste de Movimento Sociale Italiano. Benito, elle lui trouve de grandes qualités. On pend probablement toujours par les pieds, assassinés, les gens aux grandes qualités. De son point de vue, c'était plutôt là qu'on s'était trompé. Elle vénère aussi Giorgio Almirante, un collaborateur nazi d'autrefois. Du mauvais côté de l'histoire.
Ell est populiste de l'aile droite, Italienne nationaliste, xenophobe, islamophobe, homophobe, contre l'avortement, contre le mariage ou l'adoption chez les gens de même sexe, contre la mort assistée, contre la migration qui ne serait pas Européènne, et était en faveur de meilleures relations avec Putin avant qu'il ne commettent ces crimes, au moins, elle a retourné sa veste et plaide ouvertement sur l'armement de l'Ukraine pour se défendre de son agresseur.
Après la Suède qui s'est votée une exrême radicale de droite. La botte qui moisit.
C'est déplorable. Un si beau pays.
L'entendre parler d'humanité au lendemain de sa victoire donne envie de gerber.