Dans les salles avec un grand ecran (12)

Par Antoine06 @AVissuzaine

NDLA : Les deux premiers films datent d'il y a plusieurs mois mais j'avais oublié de les publier. Oups... (de toutes façons je n'étais pas emballé) 

AZURO : De Mathieu Rozé. Avec Valérie Donzelli, Thomas Scimeca, Yannick Choirat.

C’est l’été, un groupe d’amis en vacances, deux couples fissurés, une célibataire, une ado éprise de liberté, un enfant tonique, la chaleur, la plage, l’amour. Puis un homme aussi beau que mystérieux débarque un jour de son bateau et va perturber l’été paisible du groupe.

Cela aurait pu être un bon film, c’était un peu ennuyeux. Trop de caricatures, trop d’évidences.

COUPEZ : De Michel Hazanavicius. Avec Romain Duris, Bérénice Béjo.

Sur le tournage d’un film de zombis l’équipe du film est attaquée par des zombis.

On est prévenu d’avance, c’est du loufoque. Pourquoi pas.

Dés le début du film on est surpris par le cadrage, le mauvais jeu, le son, les lumières. A tel point qu’on se demande si on ne va pas quitter la salle !

Puis l’on comprend que le début du film est le résultat d’un film raté et la suite nous donne l’explication.

On comprend donc que le début du film est d’une longueur insupportable.

On peut trouver le reste amusant.

LES VOLETS VERTS : De Jean Becker. Avec Gérard Depardieu, Benoît Poelvorde, Stefi Cemla, Fanny Ardant, Anouck Grimbert.

Un acteur vieillissant, toujours épris de son amour de jeunesse se sent désespérément seul malgré la présence de son chauffeur dévoué et de son ami Félix. Il tombe amoureux sans se l’avouer de la jeune Alice.

Adaptation du roman éponyme de Georges Simenon, cette fable sur la vieillesse et la solitude est admirablement mené par un Gérard Depardieu magnifique dans un rôle d’homme à la fois tendre et insupportable.

KOMPROMAT : De Jérôme Salle. Avec Gilles Lellouche, Joanna Kulig.

Mathieu Roussel est expatrié français en Russie avec sa femme et sa fille. Un soir il est arrêté chez lui et placé en détention sous de fausses accusations, il risque 15 ans de prison.

C’est un thriller très prenant sur fond de jalousie, de différences culturelles et politiques. Gilles Lellouche est excellent (mais ce n’est pas une surprise).