Les Sept Sœurs - Tome 1 : Maia (The Seven Sisters)
Auteur : Lucinda Riley
Traduit de l’anglais (Irlande) par Fabienne Duvigneau
Éditions : Charleston (16 Juillet 2019)
ISBN : 978-2368124758
527 pages
Quatrième de couverture
À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu'elles étaient bébés, Maia d'Aplièse et ses soeurs se retrouve dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leur origine.
Mon avis
Sept sœurs, toutes adoptées par un homme riche. Elles ont grandi dans une immense et belle propriété sur les bords du lac de Genève où une femme dévouée et à l’écoute a toujours été présente pour elles et leur père. Maintenant elles sont adultes, chacune a sa vie. Seule Maia habite encore la maison familiale mais dans un pavillon à part. Au retour d’un voyage, elle apprend que son père est décédé, que les funérailles ont eu lieu et qu’elle est convoquée chez un notaire avec ses frangines.
Chacune va découvrir une lettre et un indice laissés par leur cher Papa. Un moyen, si elles le souhaitent de retrouver leurs origines dont elles ne savent rien. La première Maia décide de se lancer dans un périple au Brésil pour connaître son histoire et ce sont ses recherches que nous découvrons dans ce premier livre.
C’est un récit prenant, parfois un peu « convenu » parce qu’il se laisse deviner mais ce n’est pas bien grave tant le lecteur est captivé. Je n’ai pas vu le temps passer en passant du passé au présent, en voyageant aux côtés des personnages. J’ai trouvé intéressant que l’auteur se soit renseigné sur un fond historique et que ce qu’elle écrit soit en partie vrai (pour la création Christ du Corcovado). Les lieux sont décrits comme ils étaient à l’époque ainsi que les difficultés pour la construction de cette gigantesque œuvre. Si certains protagonistes peuvent sembler caricaturaux, ils n’en restent pas moins attachants et tout cela se lit avec un réel plaisir. Il y a des rebondissements, des révélations et l’écriture est plaisante (merci à la traductrice).
J’ai ma petite idée pour le père (ne serait-ce pas le gosse des rues à Paris à qui Bella laisse son adresse au Brésil et à qui Laurent explique les étoiles (dont la Pléiade des 7 sœurs ?))