Comment la non-inversion du Soleil et de la Lune donne la clé d’une iconographie méconnue.
La Chapelle Saint Hilarian-Sainte Foy de Perse
Bâtie sur un promontoire au dessus du ruisseau de Perse, l’église paroissiale de l’ancien village d’Espalion n’a pas d’ouverture côté Ouest, là où se trouve habituellement le grand portail. L’entrée se fait par deux ouvertures latérales côté Sud, une grande dans la nef et une petit à l’extrémité du transept. On ne connaît pas les raisons de ce choix architectural rare : la situation à demi enterrée de l’édifice obligeait dans les deux cas, ouverture au Sud ou à l’Ouest, à créer un escalier intérieur pour rejoindre le sol de l’église en contrebas. Peut être cet accès latéral a-t-il été contraint par la topographie de l’ancien village d’Espalion qui s’étendait tout autour, et dont rien n’a été conservé.
En aparté : Mission des Apôtres ou Pentecôte :
La Mission des Apôtres
Il s’agit de l’apparition du Christ ressuscité à onze apôtres (Judas s’étant suicidé). L’épisode est relaté par les quatre Evangélistes.
- Luc 24,33-48 place l’épisode juste après l’apparition du Christ ressuscité aux Pèlerins d’Emmaüs, et le situe à Jérusalem. Pour prouver sa Résurrection, Jésus montre ses plaies et mange du poisson et du miel.
- Marc 16,14-19 dit seulement que les onze étaient à table, et conclut l’épisode par l’Ascension du Christ à la droite de Dieu.
- Mathieu 28,16-20 situe la scène sur une montagne de Galilée, et arrête là son Evangile.
- Jean 20, 19-23 place la scène juste après l’apparition de Jésus à Marie de Magdala, dans le Cénacle aux portes fermées.
On constate que l’épisode ne comporte aucun élément surnaturel (mis à part chez Jean la traversée des portes fermées) et qu’aucun évangéliste ne mentionne la présence de Marie. Il est très rarement représenté.
Un des seuls exemples pratiquement assuré, après d’intenses controverses [1], est ce tympan où le registre inférieur relate, en trois cases, l’épisode des Pèlerins d’Emmaüs. Au dessus, le Christ se tient debout entre onze disciples (cinq à sa droite, six à sa gauche).
Le seul autre exemple avéré de représentation de l’épisode est cette mosaïque très restaurée, avec onze apôtres.
La Pentecôte
Cet autre épisode n’est quant à lui raconté que dans les Actes des Apôtres et concerne cent vingt disciples (dont les Douze) réunis dans le Cénacle.
« Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d’eux. Et ils furent tous remplis du Saint Esprit, et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer. » ( Actes 2:1-4)
On compte bien six rayons descendant vers les six disciples de gauche , et il en était de même pour les six disciples de droite. La présence du Christ comme source de cette lumière ne suit pas la lettre du texte, mais son esprit : en effet, lors de la Mission aux Apôtres, le Christ avait annoncé :
« Et voici, j’enverrai sur vous ce que mon Père a promis; mais vous, restez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut. » Luc 24,49
Mis à part les douze rayons, l’autre élément surnaturel est les deux nuées qui apparaissent au dessus du Christ. Dans une lecture Apocalyptique, F.Salet y voit à gauche les eaux qui sortent du Trône de Christ et à droite les feuillages de l’Arbre de Vie. M.Angheben [2] pense que les deux représentent des feuillages, la partie gauche étant juste dégrossie et la partie droite incomplètement terminée.
Très tôt s’est imposée la présence de Marie au centre des Douze, bien que cette présence ne soit pas précisée dans le texte des Actes des Apôtres.
Le portail de Perse
Le portail se compose :
- d’un tympan illustrant la Pentecôte : d’un nuage trinitaire descendent vers les apôtres dix langues de feu, et la colombe vers la Vierge [3] ;
- d’un linteau présentant l’Enfer, le Paradis et une balance entre les deux, dans lequel la plupart des commentateurs reconnaissent un Jugement dernier mal fagoté.
Le portail comportait également un trumeau qui a disparu, d’où l’encoche au centre du linteau.
L’ensemble présente deux grands problèmes iconographiques qui ont dérouté les commentateurs :
- la présence du Soleil et de la Lune dans une Pentecôte, qui est un unicum ;
- la disposition Enfer-Paradis, contraire à tous les Jugements derniers.
La Soleil et la Lune dans la Pentecôte
Pour Jean-Claude Fau, la présence tout à fait unique du Soleil et de la Lune dans une scène de la Pentecôte prouve que l’artiste a voulu copier le tympan de Conques.
Il y a bien à Perse un Soleil et une Lune qui s’inspirent du tympan de Conques ; il s’agit des deux symboles au dessus de la très belle Vierge à L’Enfant qui surplombe le second portail, avec son Soleil rayonnant et sa Lune en forme de demi-cercle posé sur une mer de nuages.
Dans le portail principal, en revanche, les personnifications du Soleil et de la Lune sont très différentes de celles de Conques. L’artiste de Perse est revenu a une iconographie qui remonte à l’époque romaine : représenter le Soleil avec une couronne rayonnante et une grande torche, la Lune avec un croissant sur le front et une petite torche.
Cette iconographie s’est transmise via les ivoires carolingiens, mais les exemples de bustes portant des torches de taille différente restent très rares. On trouve des personnifications du Soleil et de la Lune essentiellement dans des Crucifixions, mais aussi dans des représentations de la Genèse. Tout se passe comme si l’artiste de Perse avait, pour remplir les deux écoinçons, recopié un modèle dans un vieux manuscrit.
Quant à la raison de cet ajout extrêmement original, on la trouve certainement dans la suite du texte décrivant la Pentecôte. Après que les Apôtres se soient mis à parler en plusieurs langues, la foule s’étonne ou se moque, pensant qu’ils sont simplement ivres. Pierre prend alors la parole et cite le prophète Joël (Joël 2-30) :
« Oui, sur mes serviteurs et sur mes servantes, Dans ces jours-là, je répandrai de mon Esprit; et ils prophétiseront. Je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel et des miracles en bas sur la terre, Du sang, du feu, et une vapeur de fumée; Le soleil se changera en ténèbres, Et la lune en sang, Avant l’arrivée du jour du Seigneur, De ce jour grand et glorieux. Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. « Actes 2:18-21
Bien qu’aucun autre artiste ne l’ait jamais exploité, il y a bien un texte qui justifie la présence du Soleil et de la Lune dans la scène de la Pentecôte, et ce texte celui qui justifie aussi leur présence dans les Crucifixions (voir ZZZ).
L’Enfer à gauche
Dans l’iconographie immuable du Jugement Dernier, dont l’exemple le plus achevé est le tympan de Conques, à quelques kilomètres de Perse, le Christ se situe au centre, dominant à dextre (à gauche pour le spectateur) les Elus, à senestre les Damnés.
A Perse, le Christ ne se trouve ni au centre ni en position dominante, mais à l‘extrémité droite du linteau, ce qui est constitue un unicum iconographique. Et le Diable, en pendant, se trouve à l’extrémité gauche
L’explication vient rapidement à l’esprit : il s’agit d’une composition incluse non pas dans la façade occidentale, comme à Conques, mais dans la façade méridionale, donc avec l’Orient à droite : il était bien sûr inconcevable de placer l’Enfer du côté du Soleil levant. D’où l’inversion Enfer / Paradis.
De plus, lire le linteau de gauche à droite, de l’Enfer au Paradis, prépare le parcours vers le choeur que va effectuer le fidèle , sitôt qu’il aura descendu l’escalier.
Cette cause topographique nous est confirmée par cet autre portail Sud, où la pesée des Ames positionne également l’Enfer à gauche.
Ce qui est étonnant à Perse, ce n’est pas tant que l’Enfer se trouve à gauche, mais que l’artiste n’ait pas osé propager l’inversion au couple Lune-Soleil : ce à quoi les Romains avaient quant à eux consenti, sur le fronton Sud du temple de Jupiter Capitolin (voir ZZZ), pour la même question d’orientation.
L’architecte de Saint Pons de Thomières n’a pas eu à se poser la question, puisque l’ordre conventionnel Soleil-Lune convient parfaitement à un portail situé au Nord (le choeur de l’église est à gauche).
Au portail Sud de Perse, respecter l’ordre conventionnel Soleil-Lune posait un problème, qui n’a pas dû être jugé si grave. Le paradoxe est que le tympan contrarie l’orientation Ouest-Est, qui concerne directement le couple Soleil/Lune, alors que le linteau s’y adapte pour le couple Diable/Dieu, qui n’est qu’indirectement concerné.
Lire en un seul tout la partie tympan et la partie linteau amène à la conclusion sacrilège que Satan est du côté du Soleil et le Seigneur du côté de la Lune. Cette discordance majeure laisse ouverte bien des hypothèses sur l’emplacement original du portail, certains indices architecturaux suggérant qu’il a pu être remonté ou déplacé [4]. Il est clair en tout cas qu’il n’a pas fait l’objet d’une conception globale comme celui de Conques, et qu’il est vain d’essayer de relier ses trois registres au Ciel, à la Terre et au monde souterrain.
Le tympan est dédié à un premier thème rare, celui de la Pentecôte ; et le linteau à un second thème tout aussi rare, qu’il est temps maintenant de présenter.
La parabole de Lazare et le Mauvais Riche
Cette interprétation du linteau a été proposée dès 1971 par Jacques Bousquet ([5] note 143 p 875), rejoint ensuite par Jean-Claude Fau [6]. Cependant, pour Nelly Pousthome-Dalle ([4], p 271) « aucun élément ne confirme cette interprétation ».
L’histoire fait l’objet d’une assez longue Parabole dans l’Evangile de Luc :
« Il y avait un homme riche, qui était vêtu de pourpre et de fin lin, et qui chaque jour menait joyeuse et brillante vie. Un pauvre, nommé Lazare, était couché à sa porte, couvert d’ulcères, et désireux de se rassasier des miettes qui tombaient de la table du riche ; et même les chiens venaient encore lécher ses ulcères. Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. Dans le séjour des morts, il leva les yeux ; et, tandis qu’il était en proie aux tourments, il vit de loin Abraham, et Lazare dans son sein. Il s’écria : « Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. » Abraham répondit : « Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. » « D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire. »Le riche dit: Je te prie donc, père Abraham, d’envoyer Lazare dans la maison de mon père; car j’ai cinq frères. C’est pour qu’il leur atteste ces choses, afin qu’ils ne viennent pas aussi dans ce lieu de tourments. » Luc 16, 19-28
Depuis Tertullien [7], les théologien ont toujours relié cette histoire au thème du Jugement dernier. La question du « grand abîme » impossible à franchir est un point épineux, puisque contradictoire avec la notion de Purgatoire, cette zone tampon entre l’Enfer et le Ciel.
L’iconographie de la parabole du Mauvais Riche
Le traitement le plus abouti du thème se trouve au portail de Moissac, que je laisse de côté car trop éloigné de la modeste interprétation rouergate.
A Vézelay, l’histoire se développe sur les trois faces de deux chapiteaux. Pour le premier :
- Lazare à la porte, les deux mains sur son bâton de vagabond, la bouche béante, les plaies léchées par les chiens ;
- le riche faisant bombance entre deux femmes, donnant son doigt à lécher à celle de droite, pour bien souligner sa future punition ;
- sur la troisième face, un serviteur amène de la boisson, nouvelle ironie sur la soif.
Les trois faces du second chapiteau établissent des parallèles avec celles du premier :
- à la place de Lazare à la porte, la petite âme de Lazare enlevée dans une mandorle par des anges ;
- à la place de la table du festin, le lit de mort au dessus duquel les deux femmes se lamentent, tandis que des démons emportent l’âme du riche, l’un la poussant et l’autre la tirant avec une griffe en y grec ;
- à la place du pourvoyeur de boisson, Abraham au Paradis portant Lazare dans son sein.
A Besse, le sujet est traité sur les quatre faces d’un seul chapiteau :
- le festin du Riche et Lazare mendiant, précédé par une grande colombe et suivi par un ange ;
- l’emport parallèle des deux âmes par les anges et par les démons, illustrant bien la simultanéité exprimée par le texte :
« Le pauvre mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d’Abraham. Le riche mourut aussi, et il fut enseveli. «
A Autun seule a été retenue la scène du festin, avec Lazare à gauche, muni de son bâton caractéristique en forme de T.
Abbaye St Pierre du Viégeois, Corrèze
A St Pierre du Viégeois, l’histoire se développe sur trois chapiteaux consécutifs, dont voici le premier et le troisième.
Mort de Lazare et du Riche, Abbaye St Pierre du Viégeois, Corrèze (photo structurae.com)
Le deuxième chapiteau montre les deux morts simultanées : un ange et un démon (aujourd’hui cassés) extraient l’âme de Lazare debout, et celle du riche étendu sur son lit en pente, avec la tête tragique de sa femme à son côté.
Ce bas-relief corrézien présente lui-aussi un lit en pente, et un personnage affligé, malheureusement très abîmé, à côté de la tête du défunt. L’innovation est ici l’ange à la balance, descendu de la Jérusalem Céleste pour peser l’âme du défunt.
La punition du Riche (ou de l’Avare) est montrée de l’autre côté du porche, où elle vient compléter une autre histoire, celle de Tobie portant son poisson, à cause de la malédiction contre les riches qu’elle contient :
« Mieux vaut la prière avec le jeûne, et l’aumône avec la justice, que la richesse avec l’iniquité. Mieux vaut pratiquer l’aumône, que thésauriser de l’or. L’aumône sauve de la mort et elle purifie de tout péché. » Tobie 12, 8-9
Le linteau de Perse
Le linteau de Perse est basé sur la symétrie entre les deux morts :
- au centre gauche, la mort du Riche : un démon (2) muni d’une griffe en Y tire le lit vers lui, un autre (3) jette avec la même griffe l’âme du riche dans la bouche de l’Enfer ;
- au centre droit, la mort de Lazare : un ange (2) récupère dans un linge l’âme qui sort de sa tête, tandis qu’un autre (3) l’attend au seuil du Paradis ;
- de part et d’autre, les deux maîtres de l’Enfer et du Paradis, Satan et Dieu, chacun dans son Tétramorphe.
La gueule d’Enfer, figuration courante, n’a pas forcément été imitée du tympan de Conques : elle sert ici à illustrer le « grand abîme » dont parle la Parabole.
Hypothétiquement, les cinq formes ovoïdes très érodées (en violet), en dessous de l’envol sont peut être les têtes des cinq frères du Riche, encore sur Terre.
L’interprétation de la scène centrale, très abîmée, reste largement hypothétique. Dans la tête grimaçante maladroitement située sous le fléau de la balance, je pense qu’il faut reconnaître la Femme du riche, élément incontournable de l’iconographie.
Les deux plateaux dissymétriques pèsent les deux âmes simultanément : celle du Riche, à gauche, est déposée dans un plateau vu de profil par un démon à face de chat (1) ; celle de droite, vue de face, contient une croix qui illustre la piété de Lazare.
Les gestes de l’ange de droite (1) sont difficilement lisibles : de la main droite, il manipule avec des pinces un tissu qui destiné à envelopper l’âme de Lazare : extrême précaution qui contraste avec les griffes des diables. De la main gauche il semble soutenir un objet indéchiffrable qui sort des nuées (en bleu ciel) : le linteau de Perse garde sa part de mystère.
L’homme de la voussure
Jacques Bousquet ([5], note 149 p 876) a suggéré qu’il s’agisse tout simplement du sculpteur contemplant son oeuvre, comme c’est le cas à Moissac dans les deux figurines de part et d’autre du tympan (le maître et un ouvrier [13] ) en bas de la deuxième voussure.
L’identification du thème du linteau ouvre une autre possibilité : il pourrait s’agir de Lazare au Ciel en compagnie des deux archanges, magnifié par un habit royal mais ayant gardé, pour trace de son passage douloureux sur terre, son bâton caractéristique de mendiant.
Ceci pourrait justifier, par association d’idée entre le vagabond magnifié et les Rois pèlerins, la présence inexpliquée, juste au dessus, du bas-relief des Rois Mages devant une Vierge à l’Enfant (copie médiocre de celle du second portail).
Conques et Perse
La reconnaissance de deux thèmes distincts pour le portail de Perse diminue largement l’intérêt de la comparaison avec la grande théophanie de Conques, et la question des influences mutuelles (le Prieuré de Perse était possession de Conques depuis 1060). Tout au plus peut-on dire que le thème du Mauvais Riche et de Lazare constituait une solution alternative pour qui voulait traiter, à l’économie, la question du Jugement Dernier. Et que Lazare, pauvre mendiant récompensé au Ciel, constituait une figure exemplaire pour les pèlerins sur le Chemin de Saint Jacques.
Cependant, dix n’est pas onze, et la présence de la Vierge et des langues de feu signent indubitablement la Pentecôte. Le nombre des Apôtres peut varier selon la place disponible et l’adresse du dessinateur. Voici par exemple une Pentecôte à neuf Apôtres :
Pentecôte, Missel anglais, 1310-20, Bibl. Nationale du Pays de Galles [4] Nelly Pousthome-Dalle, Perse (commune d’Espalion), église Saint-Hilarian-Sainte-Foy, p. 263-277, dans Congrès archéologique de France, 167e session, Monuments de l’Aveyron, 2009 [5] Jacques Bousquet, « La sculpture à Conques au XIème-XIIème siècle », thèse de doctorat, 1971, édition Lille 1973 [6] Jean-Claude Fau, Rouergue Roman, 1990, p 264 [7] Tertullien – Œuvres complètes, traduction Genoud, 1852, tome 2, p 240 https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Tertullien_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes,_traduction_Genoud,_1852,_tome_2.djvu/240 [8] http://www.hicsum-hicmaneo.com/article-la-basilique-de-vezelay-les-chapiteaux-inacheve-113550374.html [9] https://sketchfab.com/3d-models/besse-lazare-et-le-mauvais-riche-d59b22f5352d4c548ef7f367370f2680 [10] https://www.limousin-medieval.com/parabole-du-mauvais-riche [11] https://www.limousin-medieval.com/livre-de-tobie [12] Louis Saltet, Perse et Conques. – Rapports entre deux portails voisins du XIIe siècle, dans Bulletin de la Société archéologique du Midi de la France, 1917-1921, p. 72-92 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54954894/f112.item.zoom [13] Marguerite Vidal, « Le tympan de Moissac », Cahiers de Saint-Michel de Cuxa, Nº. 2, 1971, p 89-97