Lorsque l’on porte le nom de francis fukuyama, on se tait, et c’est le moins qu’on puisse faire.

Par Abdesselam Bougedrawi @abdesselam
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Une guerre n’est pas un défilé de mode et de modèles économique portés par des mannequins instruits et intellectuels. Une guerre ce sont des deuils, des ronces et des épines. ======================================

Samuel Huntington, ainsi que Francis Fukuyama sont, en fait, considérés comme les nouveaux visionnaires, les nouveaux chantres de l’ultime vérité. La vérité absolue que l’on ne saurait discuter ou remettre en question sans paraître stupide. Stupide n’est certainement pas le mot que des personnes érudites auraient voulu utiliser. Mais, il est vrai, lorsqu’est adeptes de tels immenses clercs, on se doit d’être civilisés.

Francis Fukuyama avec son livre, la fin de l’histoire et le dernier homme, s’est trompé. Largement trompé. Pour le dire autrement, – et clairement –, il s’est planté.

Concernant la guerre de l’Ukraine, il persiste dans son erreur en faisant l’apologie du système libéral démocratique par rapport à tous les autres. On peut dire, de façon vulgaire, qu’il en remet une couche.

Une guerre n’est pas un défilé de mode et de modèles économique portés par des mannequins instruits et intellectuels. Une guerre ce sont des deuils, des ronces et des épines, comme le dit avec justesse la sagesse de Lao Tseu.

Francis Fukuyama excelle dans l’art de dénigrer des systèmes, j’aurais voulu qu’il excellât dans celui de la paix et des compassions humaines.

Francis Fukuyama aura toujours raison, et même ses inepties deviennent des vérités. Un air lassant de déjà-vu.

Retrouvez mon analyse sur Francis Fukuyama et sur les théories de la fin de l’histoire

À suivre ….

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