Ma génération va forcément penser à ce qui est considéré comme le premier rap français, interprété par Grégory Ken et Valli, souvenez-vous du fameux duo « Chagrin d’Amour » 🙂
N’ayant pas de photo dédicacée ni de l’un ni de l’autre… j’ai pensé à cette cabine à livres rencontrée lors de l’un de nos parcours de Géocaching en Haute-Vienne.
Les cabanes à livres sont une belle initiative qui permettent d’emprunter et de rendre des livres lus comme il nous plaît !
Notre commune alsacienne s’étant dotée depuis le début de l’été (enfin !) d’une cabane à livres – tout près de la maison en plus – je me suis empressée d’aller voir quels étaient les titres qu’elle contenait. Pour attirer le chaland, c’est la bibliothèque municipale qui a rempli les étagères (et Oth a déposé quelques ouvrages divers et variés).
J’ai « sauté » sur « Au Revoir La-Haut » de Pierre Lemaître, dont j’avais vu (et adoré), il y a déjà un certain temps, la version film d’Albert Dupontel. La lecture a été commencée immédiatement chez nous, puis j’ai embarqué le « pavé » dans la valise pour le terminer en Haute-Vienne.
Une fois cette lecture passionnante terminée, le livre a trouvé sa nouvelle maison, sous forme d’une cabine téléphonique reconvertie, à Sainte-Anne-Saint-Priest, dans la Haute-Vienne donc.
Pour la petite anecdote, j’ai écrit dans le livre une formule du style « Livre emprunté à … (67), rendu à Sainte-Anne-Saint-Priest (87) ». En échange, j’ai kidnappé « La Mort du Petit Cheval » de Hervé Bazin, que je viens de finir, et que j’ai rendu dans notre cabane à livres alsacienne. A cette occasion, j’ai emprunté l’Histoire d’Helen Keller.
Ceci est ma participation au Projet de Ma’. Que font de plaisant les autres participants ?