Sondage sur la technologie de gestion des mauvaises herbes à la recherche de commentaires des producteurs

Publié le 01 septembre 2022 par Mycamer

Un projet de collaboration impliquant plusieurs universités à travers le pays vise à favoriser le développement de technologies et d’approches de gestion des mauvaises herbes sans herbicide. Dans le cadre du projet, les membres de l’industrie sont invités à participer à une questionnaire en ligne. Professeur adjoint de science des mauvaises herbes végétales à l’Université de Clemson, le Dr Matthew Cutulle a déclaré que l’enquête pose une variété de questions visant à identifier l’intérêt général des producteurs.

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« En termes de facteurs environnementaux, il va demander le type de sol, l’humidité du sol, la taille de la production. Mais aussi par quels types spécifiques de désherbage autonome s’intéressent-ils ? Est-ce une pulvérisation de précision ? Évaluation de nouveaux actionneurs tels que l’électrocution ou la cryogénie ? Sont-ils prêts à partager les coûts ? » dit Cutulle. “Il s’agit simplement d’évaluer la démographie et l’intérêt des producteurs et d’essayer de comprendre ce que nous pouvons faire pour travailler avec l’industrie et essayer d’augmenter l’adoption de techniques non herbicides dans les cultures de choux et de légumes-feuilles.”

L’enquête fait partie d’une subvention de planification de l’Initiative de recherche sur les cultures spécialisées de l’USDA. Les informations recueillies grâce au questionnaire seront utilisées pour élaborer une proposition de subvention multirégionale de l’USDA. Cutulle a expliqué que les données obtenues grâce à l’enquête aideront à orienter les efforts de recherche vers une technologie de gestion des mauvaises herbes viable qui intéresse le plus les agriculteurs. Le projet cherche également à identifier les obstacles environnementaux, physiques et économiques à l’adoption. Divers membres du personnel de différentes disciplines sont impliqués dans le projet, dans le but d’obtenir une compréhension globale de la situation de l’industrie et de ce qui pourrait être nécessaire pour aller de l’avant.

“La plupart d’entre nous n’avaient pas trop d’expérience avec le contrôle robotique des mauvaises herbes, c’est pourquoi nous avons contacté Steve Fennemore pour voir s’il participerait à cette subvention de planification”, a noté Cutulle. “La plupart d’entre nous sont des spécialistes des mauvaises herbes, mais nous avons des ingénieurs et nous commençons à avoir des économistes dans l’équipe et c’est là que cette enquête va vraiment aider à comprendre ce qui évalue l’intérêt des producteurs pour des technologies spécifiques liées à l’herbe autonome. contrôler.”

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