A l'occasion de la rentrée littéraire, tout un chacun sera amené à donner son sentiment sur les ouvrages à mettre en avant. Je me soumettrai sans doute et avec plaisir à l'exercice, un jour... Mais aujourd'hui, ce qui me botte, ce sont ces ouvrages dont on a perdu la trace et qui, à mon humble avis, valent largement la plupart des sommités qui viendront encombrer d'ici peu les étals de nos librairies.
Voyez par exemple le Traité sur le véritable siège de la morve des chevaux, et les moyens d'y remédier, de
Omniana ou extrait des archives des Gobes mouches de Fortia de Piles, 1808.