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Un excellent chemin vers la paix : Un portrait de saint François

Publié le 21 août 2022 par Mycamer

Mon dernier article dans ce journal estimé faisait référence, dans son dernier paragraphe d’une phrase, à “une voie plus excellente” vers la paix universelle. En un mot, l’article décrivait la préparation internationale perpétuelle à la guerre, la fabrication de la guerre et la création d’activités lucratives grâce à la création de divers types d’armes, y compris un arsenal nucléaire capable de destruction massive et de perturbation de la vie sur terre.

En m’aidant de la phrase empruntée ci-dessus, j’ai affirmé qu’il se trouve que je savais qu’il existe «une voie plus excellente».

L’expression empruntée est attribuée à l’individu mystique qui est vénéré depuis près de 1 000 ans maintenant sous le nom de Saint François d’Assise (vers 1182-1226 après JC).

Nous apprenons qu’à l’âge de 24 ans en 1206 après JC, le jeune homme (à l’origine Giovanni di Pietro di Bernardone) se dirigeait vers le sud pour rejoindre les armées de Walter Brienne combattant au nom du pape dans l’expédition des Pouilles dans le sud de l’Italie.

Ah, ha ha ha – une armée se battait au nom du pape régnant ! Le pape mettait en scène la déclaration du Christ selon laquelle il y aura toujours des guerres, des rumeurs de guerre et des spéculations de guerre sur la terre ; et que lui, le Christ, n’était pas venu apporter la paix sur terre mais plutôt une épée, causant l’inimitié entre parent et enfant, frère et frère !

Alors qu’il poursuivait l’agenda du Pape sur les bienfaits et la gloire de la guerre, François entendit, dans « un moment suspendu d’une visite mystérieuse », ainsi continue l’histoire, une voix lui demandant : « Qu’est-ce qui ferait le mieux pour toi, le Seigneur ou le serviteur ? ?”

« Le Seigneur », répondit François.

Puis la voix a dit: «Retournez et je vous dirai quoi faire. Je vais vous montrer un chemin plus excellent ».

La génération de François dans l’histoire du monde s’est produite vers la fin de ce que les érudits appellent le Moyen Âge. Derrière lui s’étendaient des siècles de l’âge des ténèbres qui ont remplacé la chute de l’empire romain ; et devant lui, dans un avenir moyen, il y avait encore la renaissance et la réforme, et dans un avenir lointain, les aberrations de la technologie nucléaire du XXe siècle et les réalisations folles du côté obscur de la technologie numérique.

Et ainsi, obéissant à la directive surnaturelle qui a intercepté son aventure militaire, François est rentré chez lui. Il a tourné le dos à la gaieté, à l’opulence et à la gloire de la guerre – et a choisi la « voie la plus excellente » de la pauvreté, de l’humilité et de l’amour !

Il a échangé la vie colorée de la gloire de la campagne large et large pour la vie sévère d’un reclus monastique enfermé.

Il a choisi la vie de moine catholique, de diacre et de mystique. En temps voulu, son Ordre franciscain est né, un ordre d’effacement et de paix.

Après sa mort en 1226, il fut canonisé deux ans plus tard par le pape Grégoire IX à Assise, qui était l’un des États pontificaux laïcs d’Italie, et il devint par la suite le patron des animaux et de l’écologie.

La légende est descendue de François parlant avec les animaux des champs et les oiseaux du ciel reposant sur ses épaules. Il a prié dans les champs pendant si longtemps qu’il a grandi pour s’harmoniser avec la nature : jusqu’à ce que les animaux et les oiseaux le prennent joyeusement pour l’un d’eux !

François détestait la souffrance sous toutes ses formes et croyait que là où il y avait de la douleur, il n’y aurait pas de paix. Il savait et croyait avec saint Paul que l’univers entier gémissait depuis la première expérience de désordre et de douleur de l’homme, et que la nature ne serait jamais restaurée dans un ordre parfait tant que l’homme n’aurait pas atteint la paix parfaite. La prière de sa vie était donc qu’il devienne « un instrument de paix ».

Il voulait être un instrument, pas une arme. Un instrument est un moyen par lequel quelque chose est exécuté ou un processus conduit; tandis qu’une arme est spécifiquement un outil avec lequel une attaque est faite sur un ennemi.

Saint François était et est toujours un exemple suprême du premier : un instrument de paix.

Le professeur Timothy Wangusa est poète et romancier.

Mon dernier article dans ce journal estimé faisait référence, dans son dernier paragraphe d’une phrase, à “une voie plus excellente” vers la paix universelle. En un mot, l’article décrivait la préparation internationale perpétuelle à la guerre, la fabrication de la guerre et la création d’activités lucratives grâce à la création de divers types d’armes, y compris un arsenal nucléaire capable de destruction massive et de perturbation de la vie sur terre.

En m’aidant de la phrase empruntée ci-dessus, j’ai affirmé qu’il se trouve que je savais qu’il existe «une voie plus excellente».

L’expression empruntée est attribuée à l’individu mystique qui est vénéré depuis près de 1 000 ans maintenant sous le nom de Saint François d’Assise (vers 1182-1226 après JC).

Nous apprenons qu’à l’âge de 24 ans en 1206 après JC, le jeune homme (à l’origine Giovanni di Pietro di Bernardone) se dirigeait vers le sud pour rejoindre les armées de Walter Brienne combattant au nom du pape dans l’expédition des Pouilles dans le sud de l’Italie.

Ah, ha ha ha – une armée se battait au nom du pape régnant ! Le pape mettait en scène la déclaration du Christ selon laquelle il y aura toujours des guerres, des rumeurs de guerre et des spéculations de guerre sur la terre ; et que lui, le Christ, n’était pas venu apporter la paix sur terre mais plutôt une épée, causant l’inimitié entre parent et enfant, frère et frère !

Alors qu’il poursuivait l’agenda du Pape sur les bienfaits et la gloire de la guerre, François entendit, dans « un moment suspendu d’une visite mystérieuse », ainsi continue l’histoire, une voix lui demandant : « Qu’est-ce qui ferait le mieux pour toi, le Seigneur ou le serviteur ? ?”

« Le Seigneur », répondit François.

Puis la voix a dit: «Retournez et je vous dirai quoi faire. Je vais vous montrer un chemin plus excellent ».

La génération de François dans l’histoire du monde s’est produite vers la fin de ce que les érudits appellent le Moyen Âge. Derrière lui s’étendaient des siècles de l’âge des ténèbres qui ont remplacé la chute de l’empire romain ; et devant lui, dans un avenir moyen, il y avait encore la renaissance et la réforme, et dans un avenir lointain, les aberrations de la technologie nucléaire du XXe siècle et les réalisations folles du côté obscur de la technologie numérique.

Et ainsi, obéissant à la directive surnaturelle qui a intercepté son aventure militaire, François est rentré chez lui. Il a tourné le dos à la gaieté, à l’opulence et à la gloire de la guerre – et a choisi la « voie la plus excellente » de la pauvreté, de l’humilité et de l’amour !

Il a échangé la vie colorée de la gloire de la campagne large et large pour la vie sévère d’un reclus monastique enfermé.

Il a choisi la vie de moine catholique, de diacre et de mystique. En temps voulu, son Ordre franciscain est né, un ordre d’effacement et de paix.

Après sa mort en 1226, il fut canonisé deux ans plus tard par le pape Grégoire IX à Assise, qui était l’un des États pontificaux laïcs d’Italie, et il devint par la suite le patron des animaux et de l’écologie.

La légende est descendue de François parlant avec les animaux des champs et les oiseaux du ciel reposant sur ses épaules. Il a prié dans les champs pendant si longtemps qu’il a grandi pour s’harmoniser avec la nature : jusqu’à ce que les animaux et les oiseaux le prennent joyeusement pour l’un d’eux !

François détestait la souffrance sous toutes ses formes et croyait que là où il y avait de la douleur, il n’y aurait pas de paix. Il savait et croyait avec saint Paul que l’univers entier gémissait depuis la première expérience de désordre et de douleur de l’homme, et que la nature ne serait jamais restaurée dans un ordre parfait tant que l’homme n’aurait pas atteint la paix parfaite. La prière de sa vie était donc qu’il devienne « un instrument de paix ».

Il voulait être un instrument, pas une arme. Un instrument est un moyen par lequel quelque chose est exécuté ou un processus conduit; tandis qu’une arme est spécifiquement un outil avec lequel une attaque est faite sur un ennemi.

Saint François était et est toujours un exemple suprême du premier : un instrument de paix.

Le professeur Timothy Wangusa est poète et romancier.

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