Un groupe de défense des technologies sûres a déclaré mardi que le logiciel d’auto-conduite complet de Tesla représente une menace potentiellement mortelle pour les enfants piétons, la dernière d’une série d’allégations et d’enquêtes sur la technologie pour frapper le premier constructeur automobile électrique au monde.
Selon un test de sécurité mené par le projet Dawn, la dernière version du logiciel Tesla Full Self-Driving (FSD) Beta a heurté à plusieurs reprises un mannequin stationnaire de la taille d’un enfant sur son chemin. Les affirmations selon lesquelles la technologie a apparemment du mal à reconnaître les enfants font partie d’un campagne publicitaire exhortant le public à faire pression sur le Congrès pour interdire la technologie de conduite automatique de Tesla.
Dans plusieurs essais, un pilote d’essai professionnel a découvert que le logiciel – sorti en juin – n’avait pas réussi à détecter la silhouette de la taille d’un enfant à une vitesse moyenne de 25 mph et que la voiture avait alors heurté le mannequin. Le fondateur du Dawn Project, Dan O’Dowd, a appelé le résultats “profondément troublant”.
Le chef de l’entreprise “Elon Musk dit que le logiciel Full Self-Driving de Tesla est” incroyable “”, a ajouté O’Dowd. “Ce n’est pas. C’est une menace mortelle pour tous les Américains.
“Plus de 100 000 conducteurs de Tesla utilisent déjà le mode d’auto-conduite complète de la voiture sur les routes publiques, mettant les enfants en grand danger dans les communautés à travers le pays.”
O’Dowd a fait valoir que les résultats des tests montrent la nécessité d’interdire les voitures autonomes jusqu’à ce que Tesla prouve que les véhicules “ne faucheront pas les enfants dans les passages pour piétons”.
Tesla a riposté à plusieurs reprises aux affirmations selon lesquelles sa technologie de conduite autonome est trop sous-développée pour garantir la sécurité des occupants de la voiture ou des autres usagers de la route.
Après un violent accident au Texas en 2021 qui a fait deux morts, Musk tweeté que la fonction de pilote automatique, une version moins sophistiquée du FSD, n’était pas activée au moment de la collision.
Lors de l’assemblée des actionnaires de la société plus tôt ce mois-ci, Musk a déclaré que la conduite entièrement autonome s’était considérablement améliorée et il prévoit de rendre le logiciel disponible d’ici la fin de l’année pour tous les propriétaires qui en feront la demande. Mais les questions sur sa sécurité continuent de monter.
En juin, la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a déclaré qu’elle élargissait une enquête sur 830 000 voitures Tesla sur les quatre gammes de modèles actuelles. L’expansion est intervenue après que l’analyse d’un certain nombre d’accidents a révélé des tendances dans les performances de la voiture et le comportement du conducteur.
La NHTSA a déclaré que l’enquête élargie viserait à examiner dans quelle mesure la technologie de pilote automatique de Tesla et les systèmes associés “pourraient exacerber les facteurs humains ou les risques de sécurité comportementale en compromettant l’efficacité de la supervision du conducteur”.
Une deuxième enquête de la NHTSA est également en cours pour déterminer si le retrait du capteur radar vers l’avant sur certains Teslas plus récents oblige les véhicules à appliquer leurs freins sans raison, ce qui est appelé «freinage fantôme» et peut entraîner des épaves.
Depuis 2016, l’agence a enquêté sur 30 accidents impliquant des Tesla équipés de systèmes de conduite automatisée, dont 19 mortels. Le bureau d’enquête sur les défauts de la NHTSA examine également la technologie de pilote automatique de l’entreprise dans au moins 11 accidents où Teslas a heurté des véhicules d’urgence.
Beaucoup de ces épaves ne sont pas étudiées par la NHTSA. Et dans près de 400 accidents impliquant des voitures équipées de systèmes d’assistance à la conduite signalés par les constructeurs automobiles entre juillet 2021 et mai dernier, plus Teslas étaient impliqués que tous les autres fabricants réunis.
Un groupe de défense des technologies sûres a déclaré mardi que le logiciel d’auto-conduite complet de Tesla représente une menace potentiellement mortelle pour les enfants piétons, la dernière d’une série d’allégations et d’enquêtes sur la technologie pour frapper le premier constructeur automobile électrique au monde.
Selon un test de sécurité mené par le projet Dawn, la dernière version du logiciel Tesla Full Self-Driving (FSD) Beta a heurté à plusieurs reprises un mannequin stationnaire de la taille d’un enfant sur son chemin. Les affirmations selon lesquelles la technologie a apparemment du mal à reconnaître les enfants font partie d’un campagne publicitaire exhortant le public à faire pression sur le Congrès pour interdire la technologie de conduite automatique de Tesla.
Dans plusieurs essais, un pilote d’essai professionnel a découvert que le logiciel – sorti en juin – n’avait pas réussi à détecter la silhouette de la taille d’un enfant à une vitesse moyenne de 25 mph et que la voiture avait alors heurté le mannequin. Le fondateur du Dawn Project, Dan O’Dowd, a appelé le résultats “profondément troublant”.
Le chef de l’entreprise “Elon Musk dit que le logiciel Full Self-Driving de Tesla est” incroyable “”, a ajouté O’Dowd. “Ce n’est pas. C’est une menace mortelle pour tous les Américains.
“Plus de 100 000 conducteurs de Tesla utilisent déjà le mode d’auto-conduite complète de la voiture sur les routes publiques, mettant les enfants en grand danger dans les communautés à travers le pays.”
O’Dowd a fait valoir que les résultats des tests montrent la nécessité d’interdire les voitures autonomes jusqu’à ce que Tesla prouve que les véhicules “ne faucheront pas les enfants dans les passages pour piétons”.
Tesla a riposté à plusieurs reprises aux affirmations selon lesquelles sa technologie de conduite autonome est trop sous-développée pour garantir la sécurité des occupants de la voiture ou des autres usagers de la route.
Après un violent accident au Texas en 2021 qui a fait deux morts, Musk tweeté que la fonction de pilote automatique, une version moins sophistiquée du FSD, n’était pas activée au moment de la collision.
Lors de l’assemblée des actionnaires de la société plus tôt ce mois-ci, Musk a déclaré que la conduite entièrement autonome s’était considérablement améliorée et il prévoit de rendre le logiciel disponible d’ici la fin de l’année pour tous les propriétaires qui en feront la demande. Mais les questions sur sa sécurité continuent de monter.
En juin, la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a déclaré qu’elle élargissait une enquête sur 830 000 voitures Tesla sur les quatre gammes de modèles actuelles. L’expansion est intervenue après que l’analyse d’un certain nombre d’accidents a révélé des tendances dans les performances de la voiture et le comportement du conducteur.
La NHTSA a déclaré que l’enquête élargie viserait à examiner dans quelle mesure la technologie de pilote automatique de Tesla et les systèmes associés “pourraient exacerber les facteurs humains ou les risques de sécurité comportementale en compromettant l’efficacité de la supervision du conducteur”.
Une deuxième enquête de la NHTSA est également en cours pour déterminer si le retrait du capteur radar vers l’avant sur certains Teslas plus récents oblige les véhicules à appliquer leurs freins sans raison, ce qui est appelé «freinage fantôme» et peut entraîner des épaves.
Depuis 2016, l’agence a enquêté sur 30 accidents impliquant des Tesla équipés de systèmes de conduite automatisée, dont 19 mortels. Le bureau d’enquête sur les défauts de la NHTSA examine également la technologie de pilote automatique de l’entreprise dans au moins 11 accidents où Teslas a heurté des véhicules d’urgence.
Beaucoup de ces épaves ne sont pas étudiées par la NHTSA. Et dans près de 400 accidents impliquant des voitures équipées de systèmes d’assistance à la conduite signalés par les constructeurs automobiles entre juillet 2021 et mai dernier, plus Teslas étaient impliqués que tous les autres fabricants réunis.
— to www.theguardian.com