La patronne du bar est aussi la responsable de la soupe populaire. Chaque premier mercredi du mois, entre sept heures et midi, elle n’ouvre son établissement qu’aux sans-abri du quartier. Ils peuvent venir y prendre un repas, un café et tout ce qui ne ressemble pas à de l’alcool. Un peu de réconfort dans un hiver plus froid que les autres. Pourtant, certains préfèrent se faire porter pâle et passer la matinée à errer dans les couloirs du métro pour récupérer quelques pièces supplémentaires pour s’acheter une bouteille au supermarché du coin. Ils tiennent à leur liberté de consommation.