Il y a quelque-chose qui ne me va pas dans Le nom de la rose, et ce type d'ouvrage écrit par un moderne sur un temps ancien (comme toutes ces enquêtes que diffuse la BBC, et qui m'amènent à écrire ce billet !). Il me semble qu'on projète des idées modernes sur un monde ancien.
Ce que j'aime, au contraire, ce sont les anciens parlant d'eux-mêmes.
Il me semble que le monde se crée en permanence, et donc que l'individu est toujours confronté à des problèmes que personne n'a rencontrés avant lui.
Ce qui est intéressant est de voir ce qu'il fait alors. C'est rarement glorieux, mais il y a parfois des moments d'humilité et de grâce...