fiançailles avec l'empereur François-Joseph
Ô hirondelle, prête-moi tes ailes, Oh emmène-moi dans un pays lointain, Je serais tellement heureuse de rompre toutes mes chaînes Et de détacher tous ces liens qui m'entravent! Et si je pouvais voler librement avec toi là-haut Dans le bleu éternel du firmament, Comme je louerais alors avec ferveurLe dieu qu'on appelle Liberté.
Traduction libre de Luc-Henri RogerPoème en allemand photographié à la gare de Possenhofen