réles documentaires sur des auteurs acclamés peuvent souvent être stéréotypés ; cette étude honnête et engageante fait une différence rafraîchissante. Robert B Weide, qui a réalisé de nombreux épisodes de la série télévisée Curb Your Enthusiasm, ainsi que des documentaires sur les frères Marx et Woody Allen et a écrit le adaptation peu vue du roman Mother Night de Kurt Vonnegutnous offre maintenant un film personnel et sincère sur Vonnegut lui-même – son héros, ami et figure paternelle, et l’auteur de Slaughterhouse-Five, Cat’s Cradle et Player Piano.
Vonnegut a mélangé la fiction littéraire, la science-fiction et la comédie stand-up, faisant de lui un satiriste et un mainstream contre-culturel qui a puisé dans l’esprit provocateur des années 60. (Weide ne mentionne pas Douglas Adams ou Thomas Pynchon, bien que ce soient des comparaisons approximatives que je ferais.) Ce film raconte au moins en partie la propre histoire de Weide en tant que superfan de Vonnegut depuis ses années de lycée et son échec à terminer son film Vonnegut pendant une trentaine d’années, malgré la joyeuse collaboration de Vonnegut.
D’une manière ou d’une autre, les autres emplois rémunérés de réalisateur de Weide ont continué à entraver ce projet passionné à long terme, mais Weide est resté en contact, a continué à parler au grand homme, a continué à accumuler des séquences d’interviews. Weide nous laisse voir la vérité : il ne voulait pas terminer le film parce qu’il ne voulait pas lui-même mettre fin à sa relation avec Vonnegut. Il ne voulait pas dire au revoir.
Peut-être que ce film ne résout pas tout à fait l’énigme de la personnalité comique de Vonnegut. Je dirais que la vérité sur Slaughterhouse-Five est qu’il s’agit d’un roman profondément sérieux : un livre sur Dresde (basé sur les propres expériences de Vonnegut en tant que prisonnier de guerre américain pendant la seconde guerre mondiale, capturé par les Allemands et retenu prisonnier dans la ville pendant l’horrible bombardement incendiaire) qui réussit à faire comprendre au public américain, habitué à l’histoire écrite par les vainqueurs, ce que c’est que d’être le destinataire de ce genre de puissance de feu. Un film très touchant et perspicace.
Kurt Vonnegut: Unstuck in Time est dans les cinémas britanniques et irlandais et disponible sur Altitude Film à partir du 22 juillet
réles documentaires sur des auteurs acclamés peuvent souvent être stéréotypés ; cette étude honnête et engageante fait une différence rafraîchissante. Robert B Weide, qui a réalisé de nombreux épisodes de la série télévisée Curb Your Enthusiasm, ainsi que des documentaires sur les frères Marx et Woody Allen et a écrit le adaptation peu vue du roman Mother Night de Kurt Vonnegutnous offre maintenant un film personnel et sincère sur Vonnegut lui-même – son héros, ami et figure paternelle, et l’auteur de Slaughterhouse-Five, Cat’s Cradle et Player Piano.
Vonnegut a mélangé la fiction littéraire, la science-fiction et la comédie stand-up, faisant de lui un satiriste et un mainstream contre-culturel qui a puisé dans l’esprit provocateur des années 60. (Weide ne mentionne pas Douglas Adams ou Thomas Pynchon, bien que ce soient des comparaisons approximatives que je ferais.) Ce film raconte au moins en partie la propre histoire de Weide en tant que superfan de Vonnegut depuis ses années de lycée et son échec à terminer son film Vonnegut pendant une trentaine d’années, malgré la joyeuse collaboration de Vonnegut.
D’une manière ou d’une autre, les autres emplois rémunérés de réalisateur de Weide ont continué à entraver ce projet passionné à long terme, mais Weide est resté en contact, a continué à parler au grand homme, a continué à accumuler des séquences d’interviews. Weide nous laisse voir la vérité : il ne voulait pas terminer le film parce qu’il ne voulait pas lui-même mettre fin à sa relation avec Vonnegut. Il ne voulait pas dire au revoir.
Peut-être que ce film ne résout pas tout à fait l’énigme de la personnalité comique de Vonnegut. Je dirais que la vérité sur Slaughterhouse-Five est qu’il s’agit d’un roman profondément sérieux : un livre sur Dresde (basé sur les propres expériences de Vonnegut en tant que prisonnier de guerre américain pendant la seconde guerre mondiale, capturé par les Allemands et retenu prisonnier dans la ville pendant l’horrible bombardement incendiaire) qui réussit à faire comprendre au public américain, habitué à l’histoire écrite par les vainqueurs, ce que c’est que d’être le destinataire de ce genre de puissance de feu. Un film très touchant et perspicace.
Kurt Vonnegut: Unstuck in Time est dans les cinémas britanniques et irlandais et disponible sur Altitude Film à partir du 22 juillet
— to www.theguardian.com
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