Communiqué de presse DLNR: LA POPULARITÉ DE LA CHASSE SIGNIFIE PLUS D’OISEAUX GIBIER DISPONIBLES SUR O’AHU CETTE SAISON
Publié le 19 juil. 2022 dans Dernières nouvelles du département, Rédaction
(HONOLULU) – Mardi était le premier de nombreux jours de déménagement pour le programme d’élevage de gibier à plumes d’O’ahu, faisant passer des centaines de chukars et de faisans du stade de la couveuse aux enclos de vol extérieurs.
Ces deux espèces de gibier à plumes ne survivront probablement pas dans la zone de gestion du gibier de Kuaokalā (GMA), située au-dessus de Ka’ena Point sur la rive nord-ouest d’O’ahu. C’est la raison pour laquelle la Division des forêts et de la faune du DLNR (DOFAW) importe des centaines d’oiseaux, 700 cette année seulement, pour fournir “un avantage public qui atteint un équilibre entre la conservation et la présence d’une ressource récréative dans le paysage”, explique DOFAW Game Program Coordinateur Jason Omick.
« Notre mandat nous oblige à fournir des ressources pour les loisirs de plein air durables, et la chasse fait partie de ce domaine. La chasse au gibier à plumes offre aux gens la possibilité d’obtenir de la viande et de profiter de l’extérieur. De nombreux habitants d’Oʻahu nous disent qu’ils veulent du gibier à plumes à leur disposition, et la saison dernière, la législature de l’État a reconnu cet avantage dans la loi », a ajouté Omick.
Les ressources, les chukars et les faisans, arrivent dans une couveuse juste après leur éclosion. Ils passent leurs premiers jours sous des lampes chauffantes, puis lorsqu’ils ont cinq à six semaines, ils sont transportés par camion vers des enclos de vol, construits par le personnel du DOFAW et des chasseurs bénévoles.
Nick Vargas, un biologiste de la faune DOFAW, gère le programme de jeu sur O’ahu. C’est aussi le gars qui interagit avec les chasseurs lorsqu’ils apportent leur gibier à une station d’enregistrement des chasseurs pour être enregistré.
« Au cours des cinq dernières années, nous avons constaté une forte augmentation du nombre de chasseurs à la recherche de gibier à plumes. Les gens entendent parler de notre programme “mettre et prendre” et ils voyagent de l’extérieur de l’île et du continent après avoir appris qu’O’ahu a de bonnes opportunités de chasse au gibier à plumes, a déclaré Vargas.
Avant de se diriger vers les enclos de vol, le personnel du DOFAW et les chasseurs bénévoles chargent les oiseaux, un par un, dans des caisses ou des boîtes pour le trajet au-dessus du Pali. Les chasseurs eux-mêmes ont tout intérêt à s’assurer que les enclos sont sécurisés et que les oiseaux ont un habitat qui reflète celui de Kuaokalā.
Les faisans sont équipés de «mirettes», de minuscules boucliers, qui s’adaptent sur leur bec et bloquent tout sauf leur vision périphérique. Cela protège contre la tendance des espèces à s’attaquer les unes les autres, dans les enclos.
En plus des enclos de vol gérés par DOFAW, les organisations de chasse maintiennent un autre ensemble à Mokulēʻia. Dans 15 à 16 semaines, les oiseaux seront à nouveau chargés dans des caisses et des boîtes et transportés par camion au Kuaokalā GMA, où ils seront relâchés un par un.
Il est important de noter que les saisons de chasse annuelles réduisent l’impact des oiseaux sur le paysage à presque rien. Le système de put and take est non seulement respectueux de l’environnement, mais également financièrement viable. Les revenus provenant des permis de chasse et des timbres de gibier à plumes aident à financer le programme.
Omick souligne que l’État reçoit environ 4,5 millions de dollars par an en subventions fédérales pour des projets de restauration de la faune gibier et non gibier. Les fonds fédéraux alloués au programme de gibier avec les revenus des permis de chasse collectés, soutiennent et renforcent la chasse au gibier à plumes dans tout l’État.
«Souvent, la composante de durabilité alimentaire de la chasse se perd, mais ces oiseaux se retrouvent sur les tables des familles locales. Ils sont bons à manger et j’ai eu des oiseaux fumés et rôtis et du charqui d’oiseau. Le système de mise et de prise est essentiel à O’ahu, car contrairement à de nombreux autres endroits, ces oiseaux ne peuvent pas survivre pendant des années et des années dans la zone de chasse aux oiseaux gibier existante, en raison de conditions d’habitat incompatibles, notamment le manque d’eau et de ressources alimentaires adéquates. dans la GMA. Nous avons maintenant la garantie que des oiseaux seront disponibles pour être chassés chaque année », a conclu Vargas.
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RESSOURCES
(Toutes les images/vidéos sont reproduites avec l’aimable autorisation de DLNR)
Vidéo HD – Transfert de gibier à plumes (18 juillet 2022) :
(Fiche de prise de vue jointe)
Photographies – Transfert de gibier à plumes (18 juillet 2022) :
https://www.dropbox.com/sh/9eou5o8yru7wsjx/AACGcG5n6O_zDzxmtFTOUyeta?dl=0
Personne-ressource pour les médias :
Dan Denison
Responsable Communication Sénior
Département des terres et des ressources naturelles d’Hawaï
(808) 587-0396
Communiqué de presse DLNR: LA POPULARITÉ DE LA CHASSE SIGNIFIE PLUS D’OISEAUX GIBIER DISPONIBLES SUR O’AHU CETTE SAISON
Publié le 19 juil. 2022 dans Dernières nouvelles du département, Rédaction
(HONOLULU) – Mardi était le premier de nombreux jours de déménagement pour le programme d’élevage de gibier à plumes d’O’ahu, faisant passer des centaines de chukars et de faisans du stade de la couveuse aux enclos de vol extérieurs.
Ces deux espèces de gibier à plumes ne survivront probablement pas dans la zone de gestion du gibier de Kuaokalā (GMA), située au-dessus de Ka’ena Point sur la rive nord-ouest d’O’ahu. C’est la raison pour laquelle la Division des forêts et de la faune du DLNR (DOFAW) importe des centaines d’oiseaux, 700 cette année seulement, pour fournir “un avantage public qui atteint un équilibre entre la conservation et la présence d’une ressource récréative dans le paysage”, explique DOFAW Game Program Coordinateur Jason Omick.
« Notre mandat nous oblige à fournir des ressources pour les loisirs de plein air durables, et la chasse fait partie de ce domaine. La chasse au gibier à plumes offre aux gens la possibilité d’obtenir de la viande et de profiter de l’extérieur. De nombreux habitants d’Oʻahu nous disent qu’ils veulent du gibier à plumes à leur disposition, et la saison dernière, la législature de l’État a reconnu cet avantage dans la loi », a ajouté Omick.
Les ressources, les chukars et les faisans, arrivent dans une couveuse juste après leur éclosion. Ils passent leurs premiers jours sous des lampes chauffantes, puis lorsqu’ils ont cinq à six semaines, ils sont transportés par camion vers des enclos de vol, construits par le personnel du DOFAW et des chasseurs bénévoles.
Nick Vargas, un biologiste de la faune DOFAW, gère le programme de jeu sur O’ahu. C’est aussi le gars qui interagit avec les chasseurs lorsqu’ils apportent leur gibier à une station d’enregistrement des chasseurs pour être enregistré.
« Au cours des cinq dernières années, nous avons constaté une forte augmentation du nombre de chasseurs à la recherche de gibier à plumes. Les gens entendent parler de notre programme “mettre et prendre” et ils voyagent de l’extérieur de l’île et du continent après avoir appris qu’O’ahu a de bonnes opportunités de chasse au gibier à plumes, a déclaré Vargas.
Avant de se diriger vers les enclos de vol, le personnel du DOFAW et les chasseurs bénévoles chargent les oiseaux, un par un, dans des caisses ou des boîtes pour le trajet au-dessus du Pali. Les chasseurs eux-mêmes ont tout intérêt à s’assurer que les enclos sont sécurisés et que les oiseaux ont un habitat qui reflète celui de Kuaokalā.
Les faisans sont équipés de «mirettes», de minuscules boucliers, qui s’adaptent sur leur bec et bloquent tout sauf leur vision périphérique. Cela protège contre la tendance des espèces à s’attaquer les unes les autres, dans les enclos.
En plus des enclos de vol gérés par DOFAW, les organisations de chasse maintiennent un autre ensemble à Mokulēʻia. Dans 15 à 16 semaines, les oiseaux seront à nouveau chargés dans des caisses et des boîtes et transportés par camion au Kuaokalā GMA, où ils seront relâchés un par un.
Il est important de noter que les saisons de chasse annuelles réduisent l’impact des oiseaux sur le paysage à presque rien. Le système de put and take est non seulement respectueux de l’environnement, mais également financièrement viable. Les revenus provenant des permis de chasse et des timbres de gibier à plumes aident à financer le programme.
Omick souligne que l’État reçoit environ 4,5 millions de dollars par an en subventions fédérales pour des projets de restauration de la faune gibier et non gibier. Les fonds fédéraux alloués au programme de gibier avec les revenus des permis de chasse collectés, soutiennent et renforcent la chasse au gibier à plumes dans tout l’État.
«Souvent, la composante de durabilité alimentaire de la chasse se perd, mais ces oiseaux se retrouvent sur les tables des familles locales. Ils sont bons à manger et j’ai eu des oiseaux fumés et rôtis et du charqui d’oiseau. Le système de mise et de prise est essentiel à O’ahu, car contrairement à de nombreux autres endroits, ces oiseaux ne peuvent pas survivre pendant des années et des années dans la zone de chasse aux oiseaux gibier existante, en raison de conditions d’habitat incompatibles, notamment le manque d’eau et de ressources alimentaires adéquates. dans la GMA. Nous avons maintenant la garantie que des oiseaux seront disponibles pour être chassés chaque année », a conclu Vargas.
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(Toutes les images/vidéos sont reproduites avec l’aimable autorisation de DLNR)
Vidéo HD – Transfert de gibier à plumes (18 juillet 2022) :
(Fiche de prise de vue jointe)
Photographies – Transfert de gibier à plumes (18 juillet 2022) :
https://www.dropbox.com/sh/9eou5o8yru7wsjx/AACGcG5n6O_zDzxmtFTOUyeta?dl=0
Personne-ressource pour les médias :
Dan Denison
Responsable Communication Sénior
Département des terres et des ressources naturelles d’Hawaï
(808) 587-0396
— to governor.hawaii.gov
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