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Notre terre

Publié le 11 février 2017 par Bernard Taillefer
Je sais, je sais ! Nos élus sont bien occupés : préparer les élections, suivre les élections, mettre en place un gouvernement.... C'est ce que je vois en Haïti aujourd'hui mais cela se passe dans tous les pays du monde. Et puis le mandat prendra fin et il faudra recommencer la joute électorale.

Pendant ce temps, la planète est dézinguée. Et comme les politiciens sont généralement incapables d'avoir des visions qui dépassent la durée de leur mandat, nous pourrions être foutus. 

La terre, c'est là où nous marchons. On risque moins de salir les sabots que nous n'avons plus. On bétonne de plus en plus. Donc le "plancher des vaches" se raréfie. Mal. Car s'il y a des inondations, gare aux dégâts. Et il y a de plus en plus de calamités naturelles qui font des milliers de morts. Haïti vient de vivre un cyclone terrible. Porteur de destruction de vies, humaines, animales, végétales.

La terre, c'est là d'où nous tirons notre nourriture.  Mais l'agriculture industrielle a détruit les sols, lamentablement.  Pas inexorablement si on plante, massivement mais ce n'est pas grande priorité au Sud !

C'est sur la terre que nous respirons l'air Respirons ?  le mot va perdre de son sens avec les particules fines. Dans le Sud on ajoute un flux incontrôlé de motos chinoises pas chères ! Cela donne un épais brouillard qui s'ajoute à celui des diesels mal réglés.



Il ne faut pas jouer avec le feu ! Cette vidéo donne des idées. Mais les chiffres sont terribles !

Alors, entre les déchets, les mauvaises semences, la disparition de la bio diversité et une planète plus harmonieuse et vivable, il faut choisir, vite. La recherche du profit à tout prix a conduit aux désastres. Sortons de cette logique de l'argent.


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