Il s’agit d’un petit bâtonnet à passer sur la langue de l’automobiliste visé par la maréchaussée et dix minutes plus tard, le résultat est tombé, cependant si ce nouveau test détecte bien la cocaïne, les amphétamines et les opiacés, il n’en est pas de même du cannabis si le conducteur contrôle ne l’a pas consomma une heure au maximum avant le contrôle, alors qu‘il est le principal problème en France.
Ce nouveau test ne permet as non plus de connaître la quantité de drogue absorbée et, s’in s’avère positif, il doit être suivi d’un test sanguin pour confirmer la consommation de stupéfiants par le conducteur qui vint d’être contrôlé.
On compte avant tout sur son effet dissuasif, car selon une enquête menée sur les années 2005 et 2006, 28% des conducteurs morts sur la route avaient consommés du cannabis, chiffre à compare aux 32% qui avaient consommé de l’alcool et 2,5% de la cocaïne, ce montre, si on avait encore douté, l’intérêt de toute action dans ce sens.