Le plastique un un terrible danger pour l'humanité, mais pas celui que l'on dit. Il se transforme en nanoparticules, et celles-ci traversent les systèmes immunitaires des êtres vivants. Ce qui peut résulter en cancers. (Ce blog a consacré plusieurs articles à cette question.)
La "transition climatique" ne va pas stopper ce phénomène, mais, au contraire, l'accélérer :
- Les technologies qu'elle utilise (en particulier pour les voitures électriques) emploient en masse le plastique.
- Le recyclage est pire que le mal : il laisse croire que le plastique est inoffensif et il met du plastique là où il n'y en avait pas, et donc tue des filières vertueuses.
- Le pétrole étant éliminé comme combustible doit trouver d'autres usages, et le plastique est une diversification à haute valeur ajoutée.
Enseignement ? C'est exactement le mécanisme que décrit le club de Rome. A chaque fois que l'on pense remédier à un mal, on en produit un plus grand. La "transition climatique", si elle veut réussir, a besoin d'une vision systémique pour la guider. En particulier, elle ne peut pas prendre comme indicateur les seules émissions de gaz à effet de serre.