Ayant récemment essayé le prochain système de rétroaction haptique et de mouvement G5 de D-BOX pour les courses sur simulateur, nous sommes plus convaincus que jamais que les mondes de la course sur simulateur et du sport automobile fusionnent.
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Dans le monde du sim racing, nous recherchons constamment l’immersion ultime. L’utilisation de la technologie pour imiter les sensations qu’un conducteur peut éprouver dans le monde réel est un élément important, et diverses formes de technologie ont été continuellement développées au fil des ans dans la poursuite du réalisme.
Réalité virtuelle, génération de vent, empattements à entraînement direct et pédales hydrauliques. Tous ces éléments sont conçus avec un objectif principal : rendre le sim racing aussi proche que possible du sport automobile.
Il est également juste de dire que dans de nombreux cas, le niveau d’immersion est en corrélation avec le niveau de plaisir du conducteur. Bien sûr, tout le monde n’a pas la capacité de muscler une voiture de Formule 1 dans les rues de Monte-Carlo sans heurter les barrières, mais même si les voitures elles-mêmes doivent être quelque peu accessibles, la plupart apprécieront toujours les sensations physiques réalistes délivrées par le matériel choisi.
L’une des plus grandes différences entre le virtuel et la réalité est le mouvement. Même si vous conduisez à 230 mph dans la ligne droite de Mulsanne dans un jeu, vous restez immobile. Autrement dit, si vous n’utilisez pas de simulateur de mouvement.
Les plates-formes de mouvement sont de toutes formes et tailles, et dans la même veine que le développement de voitures, différentes entreprises essaient constamment de développer des méthodes uniques pour optimiser l’expérience. Un choix populaire implique l’utilisation de la technologie haptique via des moteurs et des actionneurs.
En termes simples, la technologie haptique dans un contexte de simulation de course utilise une combinaison de mouvement, de vibration et de texture pour donner à l’utilisateur des sensations physiques réalistes dans un cadre virtuel.
Un chef de file dans ce segment est l’entreprise canadienne D-BOXqui se spécialise dans la mise en œuvre de la technologie haptique sous diverses formes, allant des attractions de parcs à thème et des fauteuils de cinéma aux systèmes de divertissement à domicile et bien sûr, aux cockpits de course sim.
Lors d’un événement récent, j’ai pu essayer à la fois son système de mouvement Gen 3 actuel ainsi que son concept Gen 5 qui sera bientôt lancé. Les deux configurations utilisent la même conception d’actionneur à quatre points (un à chaque coin), et bien que les deux offrent une expérience similaire dans la pratique, la dernière création est plus raffinée et compacte dans sa conception. Dans les deux cas, l’objectif est d’aider à ajouter une surcharge sensorielle lors de la course dans un environnement virtuel.
Tout d’abord, j’ai mis le système G3 à l’épreuve en m’attaquant à l’une des étapes les plus exigeantes de Grèce sur DiRT Rally 2.0 dans une Subaru Impreza World Rally Car.
J’ai déjà expérimenté des plates-formes de mouvement, mais celle-ci s’est sentie spécifiquement raffinée et triée dès la sortie de la boîte. Chaque caractéristique spécifique du jeu, comme les éclaboussures d’eau, les sections rocheuses, les sauts et les changements d’élévation, m’a procuré une sensation unique.
Cela ne devrait pas surprendre étant donné la haute fidélité du système D-BOX. Il parle directement au logiciel du jeu et crée une combinaison sur mesure de commentaires pour chaque “événement” individuel.
Par exemple, une bande rugueuse créera un certain niveau de vibration, un changement d’élévation créera un certain type de mouvement. Il existe plus de 65 000 combinaisons possibles de commentaires, et ce niveau de détail a vraiment brillé.
Les sections rocheuses de l’étape étaient particulièrement cahoteuses, les gros sauts m’ont donné ce moment de calme, avant une double compression lourde à l’atterrissage. J’ai été vraiment surpris par la fidélité; aucune section de la scène n’a ressenti la même chose. Bien que ce fut une expérience intense, elle était loin d’être écrasante, donc les niveaux de plaisir étaient élevés tout au long.
“Sentir la voiture glisser dans les virages fait vraiment retourner le cerveau dans l’environnement dans lequel il se trouve pendant un rallye, vous avez donc l’impression de ne pas avoir quitté la voiture”, a expliqué la pilote de rallye Louise Cook, qui était sur place pour montre-moi les ficelles.
Alors qu’elle se concentre sur une carrière dans le championnat du monde des rallyes et est actuellement en train de conclure un accord pour le prochain rallye de Finlande, Cook crée également du contenu vidéo de rallye sim pour sa chaîne YouTube, dont certains ont amassé plus de neuf millions de vues.
“L’utilisation de la technologie haptique reproduit vraiment toutes les sensations de rallye intenses sur lesquelles un pilote s’appuie. Ma partie préférée du rallye est les sauts, donc le fait que vous puissiez recréer cela [with this system] est d’une grande aide.
Ensuite, il était temps d’essayer le dernier système G5 avec Actif Corsa. L’élément qui m’a vraiment marqué ici était les bosses sur la route et les mouvements latéraux dans les virages.
Sur les lignes droites plus longues, comme la Döttinger Höhe du Nürburgring Nordschleife, chaque bosse a commencé à se sentir plus prononcée à mesure que je prenais de la vitesse, aidant à communiquer la sensation de vitesse.
Alors que je me tenais sur les freins pour les virages, les ceintures de sécurité étroitement attachées ont fonctionné avec le mouvement de la chaise pour offrir cette sensation distincte de puissance de freinage. Les blocages étaient communiqués par la texture et les vibrations, le sous-virage et le survirage par le mouvement. Ce n’était pas aussi viscéral que l’expérience de rallye, mais c’est comme ça que ça devrait être.
Bien sûr, il y avait encore des éléments qui, selon moi, pourraient être améliorés de manière réaliste. Une tension et un mouvement supplémentaires de la ceinture ajouteraient plus de réalisme au freinage, quelques vibrations subtiles supplémentaires à grande vitesse à travers la base du siège et en effet les pédales auraient un effet similaire.
Je pense que si vous deviez combiner ce mouvement haptique haute fidélité avec des extras tels que la génération de vent et une forme de simulation sonore plus réaliste, vous seriez sur la bonne voie pour optimiser le potentiel de la technologie de course sim à son maximum.
Au fur et à mesure que cela se développe, la synergie entre le sport automobile numérique et analogique se développe également. La technologie haptique ne crée pas à elle seule une immersion parfaite dans les courses de simulation. Il fait cependant un pas en avant notable vers les sensations de conduite dans le monde réel.
Non seulement je me sentais plus connecté que jamais à la voiture virtuelle sous moi, mais je me suis aussi amusé à l’utiliser. Après tout, les courses de sim doivent aussi être amusantes.
Bien que je ne vois pas cette technologie apparaître dans la plupart des salons depuis un certain temps maintenant, compte tenu du coût général et de la complexité, je peux certainement voir qu’il s’agit d’une option fantastique pour les sessions de formation des conducteurs, les centres d’expérience – elle sera utilisée pour Bientôt des emplacements F1 sous licence officielle – et ceux sans restrictions budgétaires qui cherchent à créer l’expérience la plus immersive possible disponible.
Au niveau macro, je ne pense pas que les courses de sim puissent jamais nous donner un réalisme complet, à la fois physiquement et mentalement. Il ne transmettra jamais complètement les forces g intenses, ni ne pourra recréer en toute sécurité la sensation très réelle de peur, mais il vous offre une alternative pratique et accessible à la conduite d’une voiture de course.
Des développements tels que la technologie haptique nous rapprochent toujours plus de la réalité dans les domaines où il est vraiment possible de s’approcher, et nous sommes maintenant au point où les liens sont suffisamment forts pour que l’un puisse avoir un impact direct sur l’autre.
Ayant récemment essayé le prochain système de rétroaction haptique et de mouvement G5 de D-BOX pour les courses sur simulateur, nous sommes plus convaincus que jamais que les mondes de la course sur simulateur et du sport automobile fusionnent.
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Dans le monde du sim racing, nous recherchons constamment l’immersion ultime. L’utilisation de la technologie pour imiter les sensations qu’un conducteur peut éprouver dans le monde réel est un élément important, et diverses formes de technologie ont été continuellement développées au fil des ans dans la poursuite du réalisme.
Réalité virtuelle, génération de vent, empattements à entraînement direct et pédales hydrauliques. Tous ces éléments sont conçus avec un objectif principal : rendre le sim racing aussi proche que possible du sport automobile.
Il est également juste de dire que dans de nombreux cas, le niveau d’immersion est en corrélation avec le niveau de plaisir du conducteur. Bien sûr, tout le monde n’a pas la capacité de muscler une voiture de Formule 1 dans les rues de Monte-Carlo sans heurter les barrières, mais même si les voitures elles-mêmes doivent être quelque peu accessibles, la plupart apprécieront toujours les sensations physiques réalistes délivrées par le matériel choisi.
L’une des plus grandes différences entre le virtuel et la réalité est le mouvement. Même si vous conduisez à 230 mph dans la ligne droite de Mulsanne dans un jeu, vous restez immobile. Autrement dit, si vous n’utilisez pas de simulateur de mouvement.
Les plates-formes de mouvement sont de toutes formes et tailles, et dans la même veine que le développement de voitures, différentes entreprises essaient constamment de développer des méthodes uniques pour optimiser l’expérience. Un choix populaire implique l’utilisation de la technologie haptique via des moteurs et des actionneurs.
En termes simples, la technologie haptique dans un contexte de simulation de course utilise une combinaison de mouvement, de vibration et de texture pour donner à l’utilisateur des sensations physiques réalistes dans un cadre virtuel.
Un chef de file dans ce segment est l’entreprise canadienne D-BOXqui se spécialise dans la mise en œuvre de la technologie haptique sous diverses formes, allant des attractions de parcs à thème et des fauteuils de cinéma aux systèmes de divertissement à domicile et bien sûr, aux cockpits de course sim.
Lors d’un événement récent, j’ai pu essayer à la fois son système de mouvement Gen 3 actuel ainsi que son concept Gen 5 qui sera bientôt lancé. Les deux configurations utilisent la même conception d’actionneur à quatre points (un à chaque coin), et bien que les deux offrent une expérience similaire dans la pratique, la dernière création est plus raffinée et compacte dans sa conception. Dans les deux cas, l’objectif est d’aider à ajouter une surcharge sensorielle lors de la course dans un environnement virtuel.
Tout d’abord, j’ai mis le système G3 à l’épreuve en m’attaquant à l’une des étapes les plus exigeantes de Grèce sur DiRT Rally 2.0 dans une Subaru Impreza World Rally Car.
J’ai déjà expérimenté des plates-formes de mouvement, mais celle-ci s’est sentie spécifiquement raffinée et triée dès la sortie de la boîte. Chaque caractéristique spécifique du jeu, comme les éclaboussures d’eau, les sections rocheuses, les sauts et les changements d’élévation, m’a procuré une sensation unique.
Cela ne devrait pas surprendre étant donné la haute fidélité du système D-BOX. Il parle directement au logiciel du jeu et crée une combinaison sur mesure de commentaires pour chaque “événement” individuel.
Par exemple, une bande rugueuse créera un certain niveau de vibration, un changement d’élévation créera un certain type de mouvement. Il existe plus de 65 000 combinaisons possibles de commentaires, et ce niveau de détail a vraiment brillé.
Les sections rocheuses de l’étape étaient particulièrement cahoteuses, les gros sauts m’ont donné ce moment de calme, avant une double compression lourde à l’atterrissage. J’ai été vraiment surpris par la fidélité; aucune section de la scène n’a ressenti la même chose. Bien que ce fut une expérience intense, elle était loin d’être écrasante, donc les niveaux de plaisir étaient élevés tout au long.
“Sentir la voiture glisser dans les virages fait vraiment retourner le cerveau dans l’environnement dans lequel il se trouve pendant un rallye, vous avez donc l’impression de ne pas avoir quitté la voiture”, a expliqué la pilote de rallye Louise Cook, qui était sur place pour montre-moi les ficelles.
Alors qu’elle se concentre sur une carrière dans le championnat du monde des rallyes et est actuellement en train de conclure un accord pour le prochain rallye de Finlande, Cook crée également du contenu vidéo de rallye sim pour sa chaîne YouTube, dont certains ont amassé plus de neuf millions de vues.
“L’utilisation de la technologie haptique reproduit vraiment toutes les sensations de rallye intenses sur lesquelles un pilote s’appuie. Ma partie préférée du rallye est les sauts, donc le fait que vous puissiez recréer cela [with this system] est d’une grande aide.
Ensuite, il était temps d’essayer le dernier système G5 avec Actif Corsa. L’élément qui m’a vraiment marqué ici était les bosses sur la route et les mouvements latéraux dans les virages.
Sur les lignes droites plus longues, comme la Döttinger Höhe du Nürburgring Nordschleife, chaque bosse a commencé à se sentir plus prononcée à mesure que je prenais de la vitesse, aidant à communiquer la sensation de vitesse.
Alors que je me tenais sur les freins pour les virages, les ceintures de sécurité étroitement attachées ont fonctionné avec le mouvement de la chaise pour offrir cette sensation distincte de puissance de freinage. Les blocages étaient communiqués par la texture et les vibrations, le sous-virage et le survirage par le mouvement. Ce n’était pas aussi viscéral que l’expérience de rallye, mais c’est comme ça que ça devrait être.
Bien sûr, il y avait encore des éléments qui, selon moi, pourraient être améliorés de manière réaliste. Une tension et un mouvement supplémentaires de la ceinture ajouteraient plus de réalisme au freinage, quelques vibrations subtiles supplémentaires à grande vitesse à travers la base du siège et en effet les pédales auraient un effet similaire.
Je pense que si vous deviez combiner ce mouvement haptique haute fidélité avec des extras tels que la génération de vent et une forme de simulation sonore plus réaliste, vous seriez sur la bonne voie pour optimiser le potentiel de la technologie de course sim à son maximum.
Au fur et à mesure que cela se développe, la synergie entre le sport automobile numérique et analogique se développe également. La technologie haptique ne crée pas à elle seule une immersion parfaite dans les courses de simulation. Il fait cependant un pas en avant notable vers les sensations de conduite dans le monde réel.
Non seulement je me sentais plus connecté que jamais à la voiture virtuelle sous moi, mais je me suis aussi amusé à l’utiliser. Après tout, les courses de sim doivent aussi être amusantes.
Bien que je ne vois pas cette technologie apparaître dans la plupart des salons depuis un certain temps maintenant, compte tenu du coût général et de la complexité, je peux certainement voir qu’il s’agit d’une option fantastique pour les sessions de formation des conducteurs, les centres d’expérience – elle sera utilisée pour Bientôt des emplacements F1 sous licence officielle – et ceux sans restrictions budgétaires qui cherchent à créer l’expérience la plus immersive possible disponible.
Au niveau macro, je ne pense pas que les courses de sim puissent jamais nous donner un réalisme complet, à la fois physiquement et mentalement. Il ne transmettra jamais complètement les forces g intenses, ni ne pourra recréer en toute sécurité la sensation très réelle de peur, mais il vous offre une alternative pratique et accessible à la conduite d’une voiture de course.
Des développements tels que la technologie haptique nous rapprochent toujours plus de la réalité dans les domaines où il est vraiment possible de s’approcher, et nous sommes maintenant au point où les liens sont suffisamment forts pour que l’un puisse avoir un impact direct sur l’autre.
— to traxion.gg
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