Extrait de Clarín aujourd'hui
On reconnaît, sous les lunettes de soleil, le docteur Luque
au centre de la photo
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Le juge renvoie les médecins, psychologues et infirmiers qui se sont occupés de Diego Maradona après sa sortie précipitée de l’hôpital devant le tribunal pour y être jugés des faits d’homicide, avec ou sans préméditation, ce que les magistrats du siège devront déterminer.
L’astre, comme les Argentins
aiment bien le surnommer, à côté de D10S et de El Diez, venait de
subir une opération au cerveau, peut-être sans réel motif médical,
lorsque son médecin, Leopoldo Luque, le principal inculpé, l’a
fait sortir de la clinique où avait eu lieu l’intervention pour
une hospitalisation à domicile qui n’a pas été réalisée dans
les règles de l’art (c’est le moins que l’on puisse dire),
hospitalisation à domicile si déficiente qu’elle a pu entraîner
la mort de Diego, quelques jours plus tard. Beaucoup de choses sont
reprochées à ce médecin des plus suspects, dont des faux en
écriture (il aurait imiter la signature de son patient pour obtenir
la décharge de la clinique au moment de sa sortie anticipée). Avec
la psychiatre, il semble avoir orchestré l’absence de soins
appropriés et avoir eu pleinement conscience que ce manque de suivi
médical allait entraîner une issue fatale à court terme.
Extrait de La Nación de ce matin
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On ignore encore les motifs de ce comportement aberrant et potentiellement criminel.
Il y a fort à parier que la presse va suivre minute après minute les audiences lorsque celles-ci s’ouvriront à une date encore inconnue.
© Denise Anne Clavilier www.barrio-de-tango.blogspot.com
Pour aller plus loin :
lire l’article de Clarínlire l’article de Olé, le quotidien sportif argentin (groupe Clarín)lire l’article de La Nación