La Mare où l'on se Mire, par le Chiendent Théâtre, était aux Guinguettes de l'Yvette

Publié le 08 juin 2022 par Onarretetout

Norbert pense qu’il est plus facile de présenter une maquette plutôt qu’un opéra. Un opéra, ça demande beaucoup de travail, beaucoup de personnel, d’acteurs, d’actrices, de dossiers. Et de temps. Norbert pense que deux ans lui suffiront pour présenter sa maquette, pas aux institutions officielles qui sont débordées, mais aux publics directement, ceux qu’on croise dans les rues, dans les parcs, ceux qui fréquentent les arts de la rue. Comme ça, dans deux ans, ces publics viendront voir le résultat du travail de Norbert à l’Opéra. Parce que ça l’intéresse beaucoup, l’opéra, depuis qu’il a visité celui de Lyon, la scène, immense, les coulisses, et même le prétendu lac souterrain (qui, en réalité se trouve au Palais Garnier à Paris). Et Norbert a choisi de monter le conte d’Andersen, Le vilain petit canard. C’est un peu l’histoire des arts de la rue, au fond, celle du Vilain petit canard. Qu’on ne trouvait pas beau, pas digne et qui, aujourd’hui, tient plus que ses promesses et réunit un large public.

 


Courez voir Norbert si vous voyez, dans un programme cet été, La Mare où l’on se Mire, par la Compagnie Chiendent Théâtre. Il était au Printemps des rues à Paris, aux Guinguettes de l’Yvette et sera au Festival Les Lyelliputiennes le 8 juillet, à Lye (Indre), et sans doute ailleurs encore.