Le bonheur est immobile sur la crème d’un nuage, c’est une lumière qui gèle et qui casse. C’est un buisson de lis avec des serpents violets qui se glissent entre le crépuscule et la mer, qui se glissent dans l’herbe sanglante du crépuscule.
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Maurice Blanchard (1890-1960) – Le Monde qui nous entoure (1951) – Maurice Blanchard (Seghers / Poètes d’aujourd’hui, 1988) par Pierre Peuchmaurd.