Ton Âme, c’est la chose exquise et parfumée
Qui s’ouvre avec lenteur, en silence, en tremblant,
Et qui, pleine d’amour, s’étonne d’être aimée.
Ton Âme, c’est le lys, le lys divin et blanc.
Comme un souffle des bois où sont les violettes,
Ton souffle vient baiser le front du désespoir,
Et l’on apprend de toi les bravoures muettes.
Ton Âme est le poème, et le chant, et le soir.
Renée Vivien
Partager cet article Repost0 &version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : Le Pilori Je vous aimais… Distiques galants MaîtressePoètes D'hier
« Article précédent