Deux interprétations d'Hercule Poirot. Dans l'une c'est un petit bonhomme fat, arrogant et horripilant. Dans l'autre, c'est toute la gentillesse, la douceur, l'humanité, de la voix française.
Même si Hercule est belge, je me demande si ces deux interprétations ne correspondent pas à deux façons qu'ont les Anglais de nous voir.
En tous cas, c'est un exemple de ce que, contrairement à ce que dit le GAFA, les données sont bien peu de choses. L'interprétation peut les transformer du tout au tout.