Le premier jour du reste de ma vie, Virginie Grimaldi

Résumé : Marie a tout préparé pour l’anniversaire de son mari: gâteaux, invités, décoration de l’appartement… Tout, y compris une surprise: à 40 ans, elle a décidé de le quitter. Marie a pris « un aller simple pour ailleurs ». Pour elle, c’est maintenant que tout commence. Vivre, enfin. Elle a donc réservé un billet sur un bateau de croisière qui fait le tour du monde.
À bord, Marie rencontre deux femmes qui, elles aussi, sont à la croisée des chemins. Au fil de leurs aventures, parfois déjantées, elles pleurent et rient ensemble, à la reconquête du bonheur. Leurs vies à toutes les trois vont être transformées par cet étonnant voyage.

Avis : Marie quitte son mari le jour de son anniversaire, et part en croisière. Une croisière spéciale, spécialement faite pour personne voulant rester seule. Elle va y faire des rencontres qui vont changer sa vie.

Rodolphe, le mari de Marie est un enfoiré de première et elle fait très bien de le quitter, c’est ce que je me suis dis en lisant. Il n’a rien pour lui, il est toxique au possible. Marie rencontre Anne, Anne est déprimée, parce que suite à une bêtise elle est en train de perdre l’homme qu’elle aime plus que tout. Et puis elles rencontrent Camille, Camille veut absolument se trouver un homme dans chaque ville visitée afin d’avoir plus d’expériences pour draguer Julien avec qui elle travaille.

Ces trois femmes n’ont à priori rien en commun et pourtant elles vont se soutenir, s’entraider et passer la croisière ensemble. Toutes les trois sont attachantes, contrairement à d’autres personnages de la croisière qui sont un peu tête à claque. Mais elles vont aussi faire d’autres belles rencontres, voir de belles histoires.

Si ce n’est pas mon préféré de Virginie Grimaldi, j’ai tout de même passé un bon moment, j’ai ris et souris, j’étais contente pour les personnages quand il arrivait quelque chose de bien. Cependant je ne l’ai pas trouvé aussi tendre que d’autres de ses romans, et je n’ai guère été réceptive aux blagues de cul, je dois l’admettre.

En bref, une bonne lecture, très doudou, même s’il m’a manque un petit truc pour que la lecture soit encore meilleure.

Phrase post-itée :
« On n’a pas besoin d’être deux pour être heureux. Comme si la vie se résumait à ça, comme si le bonheur n’était accessible qu’aux paires. Il y a bien d’autres choses à faire qu’aimer quelqu’un… »

éé