Au mois de juillet, les accidents mortels sur la route ont, selon des chiffres encore provisoires diminues de 15% par rapport à ceux de 2007 le même mois et le nombre de blessés est en recul de 22%, alors que l’on craignait avoir atteint un palier difficile à franchir sans de nouvelle mesures restant à imaginer et à mettre en œuvre.
Finalement, la solution est venue de la hausse du pétrole brut que les compagnies pétrolière ont répercuté au fur et à mesure sur les prix des carburants à la pompe qui se sont littéralement envolés en quelques semaine, de manière à atteindre la le seul psychologique à ne pas dépasser, estimé à l’époque du franc de l’ordre de 10 francs, soit aujourd’hui un peu plus de 1,50 euros le litre.
Quoiqu’il en soit, les compagnies pétrolières ont enregistrés pour la première fois une diminution significative des enlèvements à la pompe, qui s’est traduite mécaniquement par une réduction de la circulation, avec deux effets bénéfiques, une réduction de bouchons et, comme on vient de le constater, une diminution significative des accidents corporels.