Bienvenue à la semaine de la ville du jeu vidéo. Maintenant : nous aurons besoin de quelques arcades.
Arcades de Yakuza
Je pense qu’une partie de l’attrait du Japon, pour un étranger, est la chance de voir le monde tel qu’il était – du moins, une version de ce monde tel que vous aimez l’imaginer, et pas trop longtemps, et filtré à travers une culture suffisamment différente pour donner à tout un aspect agréablement onirique. Visiter une salle d’arcade Sega à Tokyo, c’était comme plonger dans l’enfance dont on se souvenait vaguement de quelqu’un d’autre. Lumineux et propre à l’hôpital, avec des gazouillis électroniques agréables et des files d’attente musicales 8 bits conçues pour apaiser et engager votre cerveau, et une atmosphère étrangement studieuse, alors que les autres clients (éméchés, tous de mon âge) se sont concentrés sur divers scores élevés . C’était un endroit surréaliste pour se promener, et pas seulement à cause de la nostalgie de l’occasion. C’était parce que j’y étais déjà allé – dans Yakuza 0.
En janvier Donlan a écrit une belle pièce sur le plaisir des petits mondes ouverts. Je pense que A Short Hike est probablement mon préféré de tous les temps dans ce genre estimé, mais rien ne peut battre Kamurochō de Yakuza. pour le détail, pour la finition artisanale vibrations. Ce n’est pas tout à fait aussi précis dans les rues ouvertes (le ratio de citoyens embauchés difficiles à parieurs semble un peu décalé à 1: 1), mais à l’intérieur, le sens du lieu peut devenir carrément étrange. Le dépanneur à l’éclairage sévère, le «Smile Burger» cliniquement convivial, les minuscules salons à l’étage avec des canapés aux bordures rouges, la grotte intime du bar karaoké. Les rues de Yakuza regorgent de petits coins et recoins étranges que je ne veux pas gâcher, et je suis sûr que tout le monde a ses favoris. Mais pour moi, haut la main, ça doit être les arcades.
Ce n’est pas seulement l’ambiance parfaite. Si vous ne savez pas, les arcades Yazua ont des jeux. De vrais jeux. Jeux pendant des jours. Fantasy Zone, Space Harrier, OutRun sanglant !!! Ce sont tous des classiques d’arcade tirés en gros des coffres de Sega, chacun absorbant suffisamment pour justifier une plongée complète dans le terrier du lapin, pour revenir encore et encore comme un écolier avec trop d’été entre les mains, essayant d’augmenter ce score , passez au niveau suivant. Tout d’un coup, les réalités commencent à se chevaucher. Vous n’avez pas une magnifique approximation de l’expérience d’arcade des années 80. tu es juste ayant ce.
Sega a récemment annoncé qu’ils étaient fermer leur division d’arcade, le dernier d’une longue série de clous enfoncés dans le cercueil d’arcade rétro. Bien sûr, les jeux solo absorbants comme Yakuza font partie de ce qui a rendu ces lieux obsolètes. Il y a quelque chose d’un peu pervers à rester seul à la maison avec votre console branchée, à vous promener dans des rues simulées et à tuer quelques heures sur un appareil simulé dans une pièce simulée, en jouant à l’expérience que la machine sous votre téléviseur a aidé à tuer.
Alors, par arrêté royal, je voudrais placer une salle d’arcade Sega en centre-ville dans notre ville imaginaire du Jeu Vidéo. Il sera ouvert 24 heures sur 24 et contiendra autant de consoles que possible sur les dalles de sol en linoléum bon marché. Un petit fragment de rêve d’un passé qui n’a jamais existé, rêvé un peu plus longtemps – avec des machines à griffes ! Qu’est-ce qu’il n’y a pas à aimer?
Bienvenue à la semaine de la ville du jeu vidéo. Maintenant : nous aurons besoin de quelques arcades.
Arcades de Yakuza
Je pense qu’une partie de l’attrait du Japon, pour un étranger, est la chance de voir le monde tel qu’il était – du moins, une version de ce monde tel que vous aimez l’imaginer, et pas trop longtemps, et filtré à travers une culture suffisamment différente pour donner à tout un aspect agréablement onirique. Visiter une salle d’arcade Sega à Tokyo, c’était comme plonger dans l’enfance dont on se souvenait vaguement de quelqu’un d’autre. Lumineux et propre à l’hôpital, avec des gazouillis électroniques agréables et des files d’attente musicales 8 bits conçues pour apaiser et engager votre cerveau, et une atmosphère étrangement studieuse, alors que les autres clients (éméchés, tous de mon âge) se sont concentrés sur divers scores élevés . C’était un endroit surréaliste pour se promener, et pas seulement à cause de la nostalgie de l’occasion. C’était parce que j’y étais déjà allé – dans Yakuza 0.
En janvier Donlan a écrit une belle pièce sur le plaisir des petits mondes ouverts. Je pense que A Short Hike est probablement mon préféré de tous les temps dans ce genre estimé, mais rien ne peut battre Kamurochō de Yakuza. pour le détail, pour la finition artisanale vibrations. Ce n’est pas tout à fait aussi précis dans les rues ouvertes (le ratio de citoyens embauchés difficiles à parieurs semble un peu décalé à 1: 1), mais à l’intérieur, le sens du lieu peut devenir carrément étrange. Le dépanneur à l’éclairage sévère, le «Smile Burger» cliniquement convivial, les minuscules salons à l’étage avec des canapés aux bordures rouges, la grotte intime du bar karaoké. Les rues de Yakuza regorgent de petits coins et recoins étranges que je ne veux pas gâcher, et je suis sûr que tout le monde a ses favoris. Mais pour moi, haut la main, ça doit être les arcades.
Ce n’est pas seulement l’ambiance parfaite. Si vous ne savez pas, les arcades Yazua ont des jeux. De vrais jeux. Jeux pendant des jours. Fantasy Zone, Space Harrier, OutRun sanglant !!! Ce sont tous des classiques d’arcade tirés en gros des coffres de Sega, chacun absorbant suffisamment pour justifier une plongée complète dans le terrier du lapin, pour revenir encore et encore comme un écolier avec trop d’été entre les mains, essayant d’augmenter ce score , passez au niveau suivant. Tout d’un coup, les réalités commencent à se chevaucher. Vous n’avez pas une magnifique approximation de l’expérience d’arcade des années 80. tu es juste ayant ce.
Sega a récemment annoncé qu’ils étaient fermer leur division d’arcade, le dernier d’une longue série de clous enfoncés dans le cercueil d’arcade rétro. Bien sûr, les jeux solo absorbants comme Yakuza font partie de ce qui a rendu ces lieux obsolètes. Il y a quelque chose d’un peu pervers à rester seul à la maison avec votre console branchée, à vous promener dans des rues simulées et à tuer quelques heures sur un appareil simulé dans une pièce simulée, en jouant à l’expérience que la machine sous votre téléviseur a aidé à tuer.
Alors, par arrêté royal, je voudrais placer une salle d’arcade Sega en centre-ville dans notre ville imaginaire du Jeu Vidéo. Il sera ouvert 24 heures sur 24 et contiendra autant de consoles que possible sur les dalles de sol en linoléum bon marché. Un petit fragment de rêve d’un passé qui n’a jamais existé, rêvé un peu plus longtemps – avec des machines à griffes ! Qu’est-ce qu’il n’y a pas à aimer?
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