Bourré de couleurs et de formes particulières, l'écran parait au départ assez moche et sans intérêt mais celui-ci se transforme vite en un champ de bataille de plus en plus intense voir même... joli.
Carrément (!) hystérique, Sixty reste malgré tout un petit jeu avec lequel on joue qu'une dizaine de parties (surtout que j'ai pas atteins les 300 points, je suis deg' !).